«Depuis plusieurs saisons, les lunettes se portent oversize et métallisées. Pour mettre en valeur les yeux, les formes restent assez imposantes. Avec beaucoup de montures carrées, légèrement adoucies aux angles, et même octogonales pour les plus audacieuses», souligne Dominique Cuvillier, responsable des tendances du Silmo, le rendez-vous international de l’optique-lunetterie. À retenir aussi : «Les larges pilotes et les cat’s eyes plus effilées. Et souvent déclinées sur des montures ultrafines en métal ou en acétate pour mieux dessiner le regard.»

Une question d’optique

Une fois la monture choisie, il faut revisiter sa routine maquillage. «La correction des verres modifie le regard, prévient Patrick Lorentz, make-up artist Estée Lauder. Derrière les carreaux, l’œil des myopes a tendance à se rétrécir alors que les hypermétropes ou les presbytes doivent, elles, se méfier de l’effet loupe.» Dans les deux cas, les lunettes créent souvent une ombre sous les yeux, qui peut donner un air fatigué en s’ajoutant aux cernes.

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Maquillage Instagram - photo 13

Maquillage Instagram - photo 14

Maquillage Instagram - photo 15

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Du clair pour les myopes

On mise donc sur un anticernes riche en pigments soft-focus pour camoufler les petits défauts, surtout pour les hypermétropes ou les presbytes dont les verres accentuent la moindre imperfection. On peut superposer un peu d’highlighter pour un effet lumière. «Afin d’agrandir leur regard, les myopes utiliseront des teintes plutôt claires et des textures satinées ou irisées, qui accrochent davantage la lumière sur la paupière mobile et l’arcade sourcilière, insiste Patrick Lorentz. Surtout pas de mat : il risque d’aplatir la paupière et de la rapetisser davantage.» On pourra aussi utiliser un crayon blanc cassé à l’intérieur de l’œil, façon khôl, pour l’agrandir encore plus. On ose également le recourbe-cils, qui permet de forcer la cambrure sans un trop-plein de pigments, et on privilégie un mascara allongeant, chargé lui aussi d’ouvrir le regard.

Du sombre pour les presbytes

«Pour rééquilibrer l’effet grossissant de leurs lunettes, les hypermétropes et les presbytes miseront sur un smoky aux tons foncés - taupe, brun, marine, gris ou noir. En crayonnant simplement la racine des cils avant d’estomper vers le haut au doigt ou au pinceau. Et pour que le dessous de l’œil soit bien net (derrière les verres, toutes les imperfections se voient deux fois plus), on enroule un bout de Scotch autour du doigt, face collante vers l’extérieur, afin d’accrocher les pigments microscopiques éventuellement tombés sur la peau.»

Surveiller la ligne

«Inutile d’accentuer les sourcils ni de les maquiller, remarque Patrick Lorentz. Il suffit simplement de bien les brosser vers le haut. Mais surtout d’accorder la forme de la monture à leur ligne et de toujours les laisser apparaître au-dessus des lunettes afin de ne pas casser le regard.»

On privilégie également des formules no transfer«pour éviter que le fond de teint n’abîme la monture lorsqu’elle frotte sur le nez ou le haut des pommettes», recommande Patrick Lorentz. Même chose pour le mascara, que l’on choisit plutôt waterproof afin d’empêcher les petits dépôts sur les verres.

Vu sur les défilés

Déjà, cet hiver, on avait repéré la forme papillon chez Fendi ou ronde chez Acne Studios, à fines montures de métal chez Gucci et Balenciaga, aux verres teintés et acidulés chez Dior. Lors de la dernière Fashion Week, les lunettes ont encore gagné en taille et en couleurs et se sont imposées sur les podiums au même titre que les sacs et les bijoux. De gauche à droite : Hugo Boss voit la vie en bleu ; style Harry Potter chez Galliano ; option masque de plongée chez Dior tandis que Escada et Fendi ont revisité le look œil de chat, l’habillant de pois ou de strass.

«Miroir, mon beau miroir 3.0, dis-moi qui est la plus belle ce matin?» ; «Et bien, très chère, ta peau est un peu sèche et, vu la météo, je te conseille plutôt de mettre un rouge à lèvres corail.» Avec les miroirs intelligents (Artémis, HiMirror...), ce n'est plus un conte de fée. Certes, on connaît déjà les applis pour essayer son maquillage ou la simulation de coloration de cheveux (Make-up Genius de L’Oréal Paris), les consultations en ligne, les applis de booking (Planity, PopMyday, Simone, Les Ciseaux…). Il y a aussi les appareils de diagnostics et de fabrication de crèmes ou de fonds de teint sur mesure (Ioma, Romy, Lancôme…), le décryptage instantané des formules (Yuka, QuelCosmetic, CleanBeauty…) et bien sûr le e-commerce mais aujourd'hui, les technologies numériques envahissent la salle de bain et une pléiade de coachs virtuels entrent à la maison. Pour nous simplifier la vie. Ou pas. Et l'humaniser ? Telle est la question.

Mon labo de poche

Aujourd’hui, on crée même des parfums par intelligence artificielle. Et ce n’est pas fini. L’Oréal vient d’acquérir la beauty tech company canadienne ModiFace avec ses 70 ingénieurs et développe le big data. Déjà à l’œuvre, Effaclar Spotscan de La Roche-Posay et dès septembre, la première application de diagnostic de peau SkinConsult de Vichy. Son background : 15 ans de travail sur le vieillissement de la peau, 6 000 images cliniques, 4 500 selfies… L’utilisatrice donne quelques infos, envoie sa photo (rien ne sera pas stocké nous promet-on) et l’appli va analyser les sept signes majeurs de vieillissement. Ce qui équivaut à l’expertise de douze dermatos et cosmétologues. À la clé, un topo complet sur l’état de sa peau avec son ordonnance personnalisée. «L'idée n'est pas de se substituer aux médecins, se défend Lubomira Rochet, chief digital officer de L'Oréal, mais d'apporter un vrai service aux femmes qui n'ont pas facilement accès aux experts.» En attendant, on reste connectée avec…

Notre sélection hyper connectée

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Le bijou coach de vie

Conçu par Jean-Michel Karam, le fondateur de Ioma, le bijou Twin C de Ieva a été fabriqué par des artisans joailliers français mais le meilleur est à l’intérieur. Grâce à un micro-système et des capteurs reliés à votre mobile, il mesure en temps réels la pollution, les variations de température, le taux d’humidité, le rayonnement UV, le bruit ambiant, l’activité physique… afin de vous délivrer des conseils beauté ou lifestyle sur mesure et de vous aider à prévenir le stress environnemental. Il se customise via des accessoires (bracelet en cuir, foulard de soie, porte-clés pour le sac…) et les données collectées sont fournies à titre gracieux aux instituts de recherche et de consommateurs. Histoire de sauver notre peau et la planète.

Clic & flash

Imaginée par le Dr Olivier Courtin, l'un des dirigeants de Clarins, la marque My Blend a été l’une des premières à proposer des soins personnalisés à partir d’un logiciel high-tech. My Skin Diag analyse tous les paramètres cutanés en 25 minutes et 21 questions. On obtient ensuite la prescription de son mélange personnel (une crème essentielle dans un pot rechargeable + deux sérums boosters) à partir de 6 200 combinaisons possibles. Comme la recherche avance, toute la gamme a été reformulée en s’inspirant des derniers travaux sur les neurosciences pour favoriser la communication cellulaire. Plus la peau bavarde, plus elle est heureuse.

Selfies anti-boutons

«80 % des adolescents et 40 % des adultes souffrent d’acnéà des degrés divers mais seulement deux personnes sur trois consultent, explique la professeure Brigitte Dreno, chef du service de dermatologie du CHU de Nantes, ce qui souvent aggrave le cas et provoque des cicatrices très difficiles à éliminer.» Pour évaluer la situation et recevoir les bons conseils, La Roche-Posay lance l’appli Effaclar Spotscan élaborée avec des dermatologues grâce à l’intelligence artificielle. Le système est ultra simple : on nettoie sa peau, on réalise trois autoportraits, le logiciel analyse les imperfections, les points noirs, les marques de pigmentation, délivre un score de 0 à 4 et la routine adaptée. Au fil des mois, on suit l’amélioration. Gratuite, l’application est disponible sur le site laroche-posay.fr et utilisable sur tous les appareils mobiles.

Pas besoin d'être spécialement extravagante pour le reconnaître : pour appeler à la fête, rien de tel que les paillettes. D'où leur utilisation accrue lors des festivals, où les mises en beauté rivalisent d’inventivité : on appose ces particules de bonne humeur sur les paupières, les joues et même les lèvres... Une audace make-up moins inoffensive qu'il n'y paraît.

Une paillette vit 1000 ans

Au Royaume-Uni, les glitters se trouvent ainsi dans le viseur de près de 61 festivals depuis plus d'un an comme le Shambala, le Bestival, ou le Boomtown, qui se sont engagés l'année dernière à bannir les paillettes de leurs éditions d'ici 2021. En cause ? Leur composition plastique (en aluminium et de polytéréphtalate d’éthylène, plus précisément) et leur taille microscopique, celles-ci mesurant parfois moins d'un nanomètre de diamètre. Deux caractéristiques qui font d'elles des déchets particulièrement polluants : une paillette mettrait près de mille ans à se dégrader naturellement.

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Rouge à lèvres 11

Mascara volume

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Cette longévité lui donne donc de fortes chances de finir dans le ventre d'un oiseau ou d'un poisson, comme le relève dans les colonnes du New York Times David Innes, membre du collectif 38 Degrees. Il est à l'origine d'une pétition qui, outre l'arrêt de leur usage cosmétique, demande l'interdiction totale des paillettes sur le territoire britannique. Dans la foulée, en mars 2019, l'école primaire de Logan à East Ayrshire en Écosse est la première à bannir les paillettes de son enceinte pour des raisons éthiques.

Le mica, une alternative aux paillettes de plastique

La chasse aux paillettes traversera-t-elle la Manche ? Alors que le printemps sonne le retour de la saison des festivals en France, aucune organisation n’a pour l’heure fait part de sa position à ce sujet précisément. Elle a en tout cas déjà gagné le Brésil et le carnaval de Rio au début de ce mois de mars 2019, où bon nombre de Cariocas ont opté pour des alternatives de maquillages non polluants. Car il n'y a pas que le plastique pour satisfaire les envies de brillance.

Aussi les produits à base de mica, un minéral utilisé par la cosmétique pour ses propriétés naturellement scintillantes, rencontrent-ils un franc succès. Son extraction en Inde impliquerait toutefois le travail des enfants... C’est pourquoi des griffes à la sensibilité écolo comme Lush en proposent une version synthétique, au fini poudré tout aussi brillant.

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Pour garder l'aspect plus festif des sequins, on opte pour des matières biodégradables, notamment des paillettes en plastique recyclé, que proposent les marques Bioglitz, Wildglitter ou Festival Faces. Plus épaisses que les produits poudrés, on minimise notre empreinte environnementale en en jetant un maximum avant de se doucher. Une idée lumineuse pour continuer à briller, sans culpabiliser.

Les vampires ne vieillissent jamais. Victoria Beckham non plus. La créatrice ne devrait toutefois pas seulement sa jeunesse éternelle à ses masques de sang frais qui ont récemment défrayé la chronique. Mais à un soin ultraluxe au nom tout aussi intrigant : le Fœtus Facial.

La promesse d'une peau de bébé

Que l'on se rassure : aucun fœtus n'a été utilisé durant le traitement. Le terme fait uniquement référence à la peau de bébé que ce soin développé par le Dr Harold Lancer promet à ses utilisatrices.

Le dermatologue des stars (qui compte parmi ses clientes Beyoncé et Kim Kardashian) en a révélé le secret lors d'une interview à l'édition britannique du magazineCloser. Au programme de cette cure de jouvence ? Rien de moins que de l'extrait de caviar Beluga, incorporé dans un masque en tissu.

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Le caviar, ingrédient premium des soins anti-âge

Réputé pour ses vertus anti-âge, le caviar répare et restaure l'élasticité de la peau en stimulant le coenzyme Q10, qui aide à lutter contre son vieillissement. À la suite de l'application de ce masque premium, Victoria Beckham bénéficie également du Legacy Eye Treatment Duo, produit phare du Dr Lancer à base de perles broyées.

En vidéo, quand Posh annonce le lancement de sa chaîne Youtube

S'en suivent une injection de cellules souches, une séance de luminothérapie à LED et une séance d’oxygénothérapie. La routine. Et le spécialiste de préciser que «Victoria Beckham suit un programme avec la même détermination qu’une athlète olympique, et c’est pourquoi il fonctionne si bien». Pour obtenir la même peau de «nouveau-né» que l'ex-Spice Girl, il faudra toutefois débourser la somme de 1280 € et 920 € pour la version à domicile. La beauté n'a pas de prix.

Connue pour son teint glowy, sa chevelure blonde ondulée et ses mises en beauté sophistiquées, Blake Lively est l'incarnation contemporaine du glamour hollywoodien. Ce 1er avril, alors que l'actrice américaine de 31 ans réorganisait son tiroir de produits de beauté, elle a décidé d'en dévoiler le contenusur sur Instagram, telle une influenceuse. Et l'ancienne Gossip Girl possède une collection de cosmétiques qui en ferait rêver plus d'une.

Une marque française dans sa routine beauté

Fond de teint By Terry ou Darphin, enlumineur Giorgio Armani et Marc Jacobs, crayon contour des lèvres Chanel, palette d'ombres à paupière Make Up For Ever... Blake Lively utilise aussi bien des soins haut de gamme que des produits vendus en parapharmacie ou en grande surface, comme la crème solaire SPF 50 CeraVe. Parmi les cosmétiques de l'Américaine figure également l'eau de beauté de la marque française Caudalie. Une brume multi-fonction qui permet de fixer le maquillage et de tonifier la peau.

Les mêmes rouges à lèvres que Meghan Markle

À l'instar de Meghan Markle et Victoria Beckham, la jeune femme est elle aussi une inconditionnelle du maquillage Charlotte Tilbury puisqu'elle possède plusieurs rouges à lèvres de la Britannique. Pour créer son regard de biche, elle se sert d'un recourbe cils Shu Uemura et du mascara Diorshow de chez Dior. Enfin, très amie avec Christian Louboutin, Blake Lively possède bien évidemment un rouge à lèvres issu de la ligne de cosmétiques du chausseur.

Le CV capillaire de Blake Lively

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CV capillaire de Blake Lively - Queue de cheval lâche

CV capillaire de Blake Lively - Jack Sparrow ?

CV capillaire de Blake Lively - Rousseur

CV capillaire de Blake Lively - Rousseur

CV capillaire de Blake Lively - La tresse, variante n°1

CV capillaire de Blake Lively - Le coiffé-décoiffé

CV capillaire de Blake Lively - La tresse, variante n°2

CV capillaire de Blake Lively - Chignon rétro

CV capillaire de Blake Lively - Serre-tête

CV capillaire de Blake Lively - La tresse, variante n°2

CV capillaire de Blake Lively - Brushing parfait

CV capillaire de Blake Lively - Chignon sophistiqué

CV capillaire de Blake Lively - Cheveux lachés

CV capillaire de Blake Lively - Art capillaire

CV capillaire de Blake Lively - Ondulation 1950's

CV capillaire de Blake Lively - Carré

CV capillaire de Blake Lively - Vamp

CV capillaire de Blake Lively - Chignon spectaculaire

CV capillaire de Blake Lively - La tresse, varainte n°3

CV capillaire de Blake Lively - La tresse, variante n°4

CV capillaire de Blake Lively - Wavy

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Le secret de son wavy

Pour créer son long wavy légendaire, l'actrice se sert de la mousse Volumifique Kérastase qui apporte volume et texture à ses cheveux fins ainsi que des épingles à cheveux. Elle n'hésite d'ailleurs pas à se coiffer elle-même pour certains tapis rouges, comme le confiait en mai 2018 son coiffeur Rod Ortega au site Refinery29.

Après Eva Longoria, Leila Bekhti, Jennifer Lopez, Jane Fonda, Amber Heard ou encore Louise Bourgoin, Céline Dion rejoint le cercle envié des égéries L’Oréal Paris. La chanteuse est depuis quelques années devenue un modèle de style. Entre premiers rangs de défilés et tenues pointues arborées sur Instagram, elle transforme chaque apparition en happening mode.

"Aider les femmes à se sentir belle"

À 51 ans, la Québécoise est désormais égérie beauté. Une belle revanche sur la vie pour l'artiste qui s'est longtemps sentie complexée pendant son enfance et son adolescence. Elle a annoncé la nouvelle le 2 avril sur son compte Instagram.«Je suis tellement fière d’annoncer que je suis porte-parole pour L’Oréal Paris et que je partagerai les mots magiques "Parce que je le vaux bien" avec toutes les femmes du monde. Je suis ravie d’utiliser ma voix pour aider les autres à se sentir belles, confiantes et à apprendre à s’aimer.»

Céline Dion au premier rang du défilé Alexandre Vauthier printemps-été 2019

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Céline Dion au premier rang du défilé Alexandre Vauthier printemps-été 2019

Céline Dion au premier rang du défilé Alexandre Vauthier printemps-été 2019

Céline Dion au premier rang du défilé Alexandre Vauthier printemps-été 2019

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Sur le cliché accompagnant l'annonce de la nouvelle, Céline Dion affiche un teint hâlé et une chevelure soyeuse ondulée, dans un style sobre et chic, en pantalon noir et blouse blanche à nœud XXL.

En vidéo, avant d'entrer en scène, Céline Dion joue avec ses jumeaux

On ignore de quels produits elle sera l'ambassadrice mais elle a mentionné plusieurs comptes de la marque française que ce soit les soins cheveux, le soin ou encore le maquillage. La première campagne avec l'interprète du thème de Titanic devrait être diffusée le 22 avril à la télévision et concerner la gamme capillaire Excellence Hair Color. Et quelque chose nous dit que cela ne devrait pas être un naufrage...

Ambassadeur de la gamme beauté de Dior et consultant créatif de la marque de cosmétiques de Jessica Alba, Honest Beauty, le maquilleur américain Daniel Martin compte parmi ses clientes Elisabeth Moss, Michelle Yeoh ou encore Olivia Palermo. Mais c'est en réalisant le maquillage de Meghan Markle le jour de son mariage que ce dernier est devenu le maquilleur le plus courtisé. Dans une interview à la version britannique du magazine Ellece 5 avril, il a livré quelques-uns de ses précieux conseils.

Ses confidences sur Meghan Markle

Le 19 mai 2018, Meghan Markle disait «oui» au prince Harry. Et si le monde entier se demandait quelle robe de mariée avait choisi l'ancienne actrice, son maquillage était lui aussi très attendu. Un léger smokey eye brun, rehaussé d'un fin trait de crayon noir mais surtout un teint frais et lumineux. Une mise en beauté réalisée par son ami de longue date, le maquilleur américain Daniel Martin. «C'était excitant qu'elle (Meghan Markle, NDLR) me demande de réaliser son maquillage, car je ne m'y attendais pas, et être invité au mariage c'était une toute autre chose», avait-il déclaré en janvier 2019 dans une interview à Fashionista.

Une préparation pour le moins délicate, puisque Daniel Martin n'a pas pu voir Meghan Markle avant le mariage comme il l'a expliqué ce 5 avril à Elle : «Nous avons fait l'essai du maquillage par SMS ! (...) Je devais donc penser à ce à quoi elle ressemblerait dans la voiture, dans l'église, à l'extérieur, puis comment elle allait rendre à la télévision et sur les photos. Je ne pouvais pas trop la maquiller parce que tout au long de la journée, son maquillage allait changer. Lorsqu'elle est dans la voiture avec sa mère, son make-up a l'air beaucoup plus sombre et important, puis on la voit dans l'église et là, il est beaucoup plus brillant.»

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Ses astuces pour un maquillage qui dure

Habitué à maquiller les célébrités pour les cérémonies de remises de prix, les tapis rouges et autres séances photos, Daniel Martin a révélé son secret pour qu'elles puissent conserver leur teint parfait pendant plusieurs heures : «J'aime associer une crème hydratanteà base d'eau à un fond de teint à base d'eau, en particulier lorsque le maquillage doit durer longtemps. Car lorsque vous mélangez des produits à base d’huile avec des produits à base d’eau, votre maquillage aura tendance à se dissiper avec le temps.» Cette technique aurait également pour effet de «verrouiller» la base de teint. Pour obtenir un teint plusglowy, le maquilleur a indiqué ne pas utiliser beaucoup d'enlumineur ou de fards irisés «car cela peut donner un effet un peu métallique sur les photos». Il avoue ainsi utiliser un baume - comme le baume magique Honest Beautyde Jessica Alba ou un sérum - qu'il applique à la fin du maquillage sur les points les plus hauts du visage.

Loin d'être épargnées, les célébrités ont elles aussi des imperfections. Pour les dissimuler discrètement, Daniel Martin a trouvé la solution. Il applique directement sur la zone concernée une fine couche de gel à base de cortisone qu'il laisse poser une à deux minutes avant d'ajouter par-dessus une base de fard à paupière neutre : «Le gel protège le bouton puis la base scelle le tout.» Il camoufle ensuite la rougeur avec un correcteur et du fond de teint.

Sa technique du "Less is more"

Adepte du slogan Less is more, Daniel Martin recommande d'utiliser en guise de fond de teint un correcteur associé à une crème hydratante : «Maintenant il existe tellement de bons correcteurs qui offrent le même niveau de couvrance qu'un fond de teint. Si vous mélangez votre correcteur à votre crème hydratante, vous aurez toujours cette même couvrance mais vous pourrez quand même voir votre peau à travers.» Le maquilleur en profite également pour dévoiler un conseil des plus curieux : choisir son fond de teint en fonction de la couleur... de son abdomen. Mais pour celles qui trouveraient cette technique un peu farfelue, Daniel Martin fournit une deuxième méthode, moins complexe : «La teinte de votre fond de teint doit correspondre à celle de votre poitrine. Pas le contraire. Votre poitrine a souvent plus de rougeurs, donc vous devez équilibrer pour que cela puisse correspondre à votre visage.»

Enfin, le maquilleur préconise d'utiliser ses doigts au lieu de pinceaux et éponges : «Vous verrez qu'il y a un éclat et une vivacité sur la peau que vous n'obtiendrez pas en utilisant ces outils.» Dernière astuce de pro ? Appliquer le fond de teint au milieu du visage et le travailler vers l'extérieur afin d'éviter les démarcations. Des conseils à suivre à la lettre pour un maquillage digne de Meghan Markle.

Isamaya Ffrench n’a que 29 ans, aucun diplôme en la matière, et pourtant la Londonienne fait partie de ces make up artists que le monde de la mode s’arrache. Carine Roitfeld, ­Rihanna, Mert & Marcus la plébiscitent. Un temps ambassadrice de la beauté d’YSL, consultante pour Tom Ford, elle est aujourd’hui nommée directrice artistique du maquillage Christian Louboutin. Ultracréative et ultra­connectée, cette enfant du siècle, qui prône la différence et la beauté inclu­sive, coche toutes les cases de la ­maquilleuse star à l’ère des réseaux ­sociaux.

Quand le make up rencontre l’art

Petite, elle n’est pas tombée dans un pot de maquillage. Pendant ses études de design 3D au Chelsea College of Art puis à la Central Saint Martins, elle maquille les enfants pour des goûters d’anniversaire. « J’adorais l’exercice. Je pouvais m’exprimer tout en me faisant un peu d’argent », se souvient-elle. En 2010, elle rejoint le collectif d’artistes alternatifs The Theo Adams Company. Un jour, son ami le plasticien Matthew Stone lui propose de s’essayer au body painting lors d’une séance photo pour le magazine branché anglais i-D. « J’ai pris conscience que ce job pourrait avoir du sens pour moi. »

Forte de sa formation artistique, elle cultive un style très instinctif. Prête à user de tous les artifices, elle est capable de transformer un modèle en Pinocchio avec faux nez hypertrophié pour les besoins du dernier défilé de Vivienne Westwood : « On me demande souvent ma vision du beau et du laid. Ce sont deux notions très subjec­tives. L’émotion doit l’emporter sur l’esthétique. Mon but est de dépasser cette version ennuyeuse et commerciale de la beauté. » Une bouche carmin n’est pas seulement glamour : elle doit être dramatique. Sous les doigts de la Britan­nique, les mannequins deviennent des personnages.

Une nouvelle génération de maquilleurs

À même pas 30 ans, Isamaya Ffrench a déjà embelli (et transformé) les visages de Björk, Rihanna, Taylor Swift, ­Marilyn Manson et Kendall Jenner, travaillé avec les plus grands photographes (Tim Walker, Nick Knight), collaboré avec les créateurs les plus inventifs (Junya Watanabe, Michael Halpern). On lui répète sans cesse qu’elle est la prochaine Pat McGrath (la plus connue des maquilleuses dans l’univers du luxe qui a lancé sa propre marque avec succès). À cela, elle répond : « Nous faisons chacune notre truc. Évidemment, elle est la reine ! (rire). Son talent est incroyable, mais nous avons grandi dans deux époques distinctes et nos références sont différentes. » Les siennes oscillent façon Pinterest entre Serge Lutens à sa grande période de maquilleur dans les années 1970, le pape du bio-design Luigi Colani et le vidéaste Chris Cunningham à ­l’esthétique étrange.

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La beauté à l’ère du digital

Depuis un peu plus d’un an, la jeune femme est la directrice créative de ­Dazed Beauty, une revue en ligne (bientôt imprimée sur papier), ovni numérique dédié à la cosmétique. « Avec ce nouveau média, nous essayons de définir la beauté aujourd’hui. Ce qui passe forcément par les progrès et la technologie : la 3D, le design graphique, l’interpré­tation des données collectées sur le Web, Instagram, etc. Avec un ordinateur, vous pouvez construire une tout autre représentation de Kylie Jenner, un clone de Kate Moss ou de Travis Scott comme vous ne les avez jamais vus. C’est précisément ce qui me motive : créer des images différentes. » Pourtant la maquilleuse ne vante pas un monde virtuel, des imperfections gommées à coups de retouches numériques. « J’aime garder une humanité, des défauts dans mon travail. C’est très facile de penser un univers idéalisé, pixélisé ou 100 % naturel. L’entre-deux, plus difficile à atteindre, est, pourtant, le reflet de notre époque. »

Des produits et des images

Désormais en charge des fards de Christian Louboutin, Isamaya Ffrench partage avec le chausseur français le goût des extrêmes et d’une féminité exacerbée. « Nous nous sommes concentrés sur les textures et les couleurs pour rendre hommage au travail de Christian. Cela dit, un rouge à lèvres ne m’intéresse pas en soi. Ce qui m’attire, c’est le pouvoir de ce lipstick pour créer des histoires et des émotions. Je voudrais que cette ligne de maquillage invite au jeu, à la versatilité, qu’elle soit inclusive pour que chacun puisse trouver ce dont il a besoin. » Pile, le mot d’ordre de l’industrie cosmétique en ce moment.

Connectée mais pas porte-parole

Avec son physique renversant et son sens de l’humour so British, elle régale les 212.000 abonnés de son compte ­Instagram de selfies et multiples transformations à la Cindy Sherman, documente les moments cocasses de sa vie : « Les réseaux sociaux nous poussent à explorer différentes variations de nous-mêmes. J’aime changer d’apparence. Je me lasse très vite. Mais je ne crois pas avoir l’âme d’un porte-parole ou être en connexion avec une certaine génération. Je reçois autant de critiques que de compliments et cela me va très bien. Mon but n’est pas de plaire à tout le monde. »

On parle beaucoup des millennials dans ces pages. Un peu moins – sans doute pas assez – des 8,1 millions de femmes âgées de 65 ans et plus, qui seront 9 millions d’ici à 2020 dans le monde (estimation Insee). Des mamans et des grands-mères dynamiques, de plus en plus représentées dans la publicité, au cinéma et même dans les gouvernements. Cette génération, qui avait 20 ans en mai 1968, a gagné près de vingt ans d’espérance de vie par rapport à ses ancêtres. Elle est consciente de l’opportunité qui lui est donnée de s’épanouir dans un troisième acte de la vie, après la jeunesse et hors de la sphère socioprofes­sionnelle.

La marque L’Oréal Paris a réalisé un portrait-robot de ces clientes de choix en auditionnant des groupes de femmes du monde entier. Résultat, les new elders, comme les a baptisées la marque, ont en commun une certaine… coquetterie. « Quel que soit le milieu social, qu’elles vivent en ville ou à la campagne, ce sont des femmes qui ne veulent plus baisser les bras, explique Élisabeth Bouhadana, directrice scientifique de la marque. De la même façon qu’elles vivent les innovations technologiques comme des expériences améliorant leur quotidien, elles utilisent la cosmétique pour s’afficher sous leur meilleur jour. » 75 % d’entre elles renoncent aux colorations couvrantes mais apportent un soin particulier à leur chevelure avec des shampooings lumière ou déjaunissant. Elles ont conservé, dans leur trousse de maquillage, un bâton de rouge à lèvres, éventuellement du rimmel. Et elles parlent beaucoup de peau, un sujet présent dans 15 % de leurs conversations sur Internet.

Dans la tête, quinze ans de moins

À l’âge où l’on arrête les traitements hormonaux entamés à la ménopause, la morphologie du visage change. La microcirculation profonde se ralentit, provoquant un jaunissement du teint. La déshydratation s’accélère sous l’effet d’une diminution du métabolisme cellulaire. Surtout, la perte de fermeté au niveau du bas du visage (jusqu’à 45 ans, c’est plutôt la zone haute qui évolue) se traduit par un relâchement, d’une part, une verticalisation des rides, de l’autre. « Contrairement aux quinquagénaires, les new elders ont moins recours à la chirurgie esthétique, elles ne veulent pas paraître 40 ans, reprend Élisabeth ­Bouhadana. Mais comme elles se sentent bien et plus jeunes dans leur tête (quinze ans de moins en moyenne, selon leurs verbatims), elles veulent le voir sur leur teint : les mots qui reviennent souvent sont la vivacité, l’éclat et la lumière. »
Un sens de l’empowerment et des préoccupations cosmétiques pas si éloignées, finalement, de celles des générations précédentes. N’empêche, L’Oréal Paris commercialise à l’attention de ces coquettes une ligne complète de crèmes tonifiantes et de maquillage enrichi en soin, dont un lipstick réhydratant, un crayon à ­lèvres et un mas­cara épaississant et fortifiant (Age Perfect, notre photo).

Alors que le premier épisode de la huitième saison de la série Game of Thrones sera diffusé sur la chaîne OCS ce 15 avril 2019 et que le monde entier attend avec impatience de découvrir qui va enfin monter sur le «trône de fer», retour sur les secrets de beauté de ses actrices : Emilia Clarke, Sophie Turner, Maisie Williams et Lena Headey.

Emilia Clarke, l'égérie glamour

Égérie de l’eau de toilette «The One» de Dolce  &  Gabbana, Emilia Clarke, 32 ans, incarne dans Game of Thrones la mère des dragons, Daenerys Targaryen. Et à l'image de son personnage, la Britannique mise sur l'efficacité concernant son maquillage : «Un œil simple et net, et une couleur intense sur la bouche», avait-elle confié à Madame Figaro en février, sans oublier d'y ajouter sa petite touche indispensable  : «Un très bon mascara. Je porte le mascara Dolce  &  Gabbana depuis longtemps, avant même de devenir leur égérie  ! Quand le regard est mis en valeur, le reste a moins d’importance…» L'actrice nous expliquait aussi que c'était sa mère qui lui avait appris à se maquiller.

Son secret de beauté ? Dans une interview accordée à l'édition américaine du magazine Marie Claire, l'actrice a indiqué ne jamais se coucher sans avoir enlevé son maquillage : «Je suis assidue dans ma routine de soin de la peau. Cette année j’avais un peu bu aux Oscars et pourtant j'ai enlevé tout mon maquillage, j'ai nettoyé, tonifié et hydraté ma peau (...) Je fais des cauchemars si je dors avec du maquillage.»

En vidéo, la bande-annonce de la saison 8 de Game of Thrones

Maisie Williams, l'experte en colorations excentriques

En huit saisons, on a vu Maisie Williams passer de la timide adolescente à une jeune femme intrépide. Son personnage d'Arya Stark désormais derrière elle, l'actrice de 21 ans ose toutes les excentricités en se colorant les cheveux en bleu, rose ou plus violet pour briller sur le tapis rouge. Côté make-up, elle a récemment porté la gamme de produits GOT x Urban Decay, notamment l'épique palette pour les yeux.

Son secret de beauté ? Eye-liner, smoky eye... Maisie Williams a un don naturel pour le maquillage et n'hésite d'ailleurs pas à se préparer toute seule pour se rendre à des événements mondains.

Sophie Turner, l'adepte des perruques

L'interprète du rôle de Sansa Stark dans Game of Thrones, est connue pour avoir une chevelure rousseétincelante. Mais dans la vie, Sophie Turner est une vraie blonde. L'actrice de 23 ans devait donc - pour les besoins de la série - se colorer les cheveux deux fois par semaine avec des teintures semi-permanentes. Autant de colorations qui au fil des années ont fini par abîmer ses cheveux. Devenue en juillet 2017 égérie des produits capillaires Wella, la jeune femme a appris à prendre soin de sa chevelure. À partir de la saison 7, elle a commencé à porter des perruques ce qui lui permet en plus de protéger ses cheveux de les laver. Car au cours du tournage de la cinquième saison, la production lui avait demandé de mettre de côté son shampooing comme elle l'avait raconté au magazine américain Instyle : «On m’avait demandé de ne plus me laver les cheveux et c’était vraiment dégoûtant (...) Pendant quelques années, j’ai vécu avec les cheveux gras.»

Son secret de beauté ? Sophie Turner considère que les oreillers en soie sont «la plus grande invention de tous les temps : ils gardent votre peau douce, vos cheveux doux ; vous dormez dessus, vous vous réveillez et vous avez l'air tellement fraîche», a-t-elle indiqué à l'édition britannique du Harper's Bazaar.

Game of Thrones, une série qui fait la part belle à ses personnages féminins

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Les personnages féminins de "Game of Thrones"

Les personnages féminins de "Game of Thrones"

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Lena Headey, la reine du no-makeup

Lena Headey est une adepte de la tendance no-makeup. Le 12 février dernier, l'actrice de 45 ans a d'ailleurs répondu sur Instagram à un commentaire d'un internaute lui demandant de ne plus se filmer sans maquillage : «Je continuerai à ne pas me maquiller.» Une sentence digne de Cersei Lannister.

Son secret de beauté ? Pour hydrater son corps, Lena Headey utilise de l'huile d'argan et pour les rougeurs sur son visage de l'huile essentielle d'arbre à thé.

Se baser sur l’avis de testeuses passionnées pour choisir ses cosmétiques, c’est le concept de Lucette.com. Depuis le début de l'année, la start-up parisienne propose désormais à sa communauté d'enregistrer des avis audio et vidéo sur des produits de beauté. Un gain de temps mais surtout un nouveau lien de proximité entre fans de beauté qui pourront maintenant calculer leur score d'affinité avec le produit de leur choix via l'algorithme du site, puis lire ou écouter ce qu'en pensent les autres utilisatrices avant de se décider. Pour avoir un teint doré typique d’éternelle vacancière, la communauté Lucette a signalé ses préférences.

Le top 10 des soins pour afficher un teint estival

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Pour celles qui rentrent de vacances

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Pour celles qui ne partent pas en vacances

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Pour celles qui se préparent aux vacances : Linéance, Nair, Phyto, D-Lab

Il ne suffit pas d’enduire le corps de crème solaire une fois arrivée à la plage. Pour un bronzage optimal, il doit être exfolié une à deux fois par semaine avant le départ. En enlevant peaux mortes et impuretés, le gommage affine le grain de peau et garantit un hâle uniforme. De plus, il évite les poils incarnés et prépare les jambes à l’épilation. Composées à 98% d’ingrédients d’origine naturelle avec notamment de l’extrait de lotus et de l’huile de noyaux d’abricot, les Lingettes Gommage Corps Express de Linéance se massent en mouvements circulaires. En 2 minutes chrono, la première face exfolie en douceur tandis que la seconde hydrate l’épiderme. Pour être tranquille pendant environ trois semaines, la communauté Lucette recommande la Cire Orientale aux sucres de Nair. Seulement cinq ingrédients vegan, sans colorant ni parfum artificiel la composent. En addition à l’eau, les sucres accrochent les poils les plus courts, la glycérine assure hydratation et glisse facilement sur la peau, l’acide citrique ajoute de la texture et l’extrait de Rose de Damascena apporte une touche sensorielle. Cette cire chaude convient aux peaux sensibles. Phytoplage Voile Protecteur de Phyto, quant à lui, se charge de filtrer les UV, le sel et le chlore sur les cheveux. Un véritable écran anti-déshydratation aux senteurs de jasmin et de musc. Le spray s’utilise avant et pendant l’exposition. Pour les plus prévoyantes, le Complexe Soleil Actif de D-Lab se prend dix jours avant les premières expositions au soleil. Ces gélules vegan et sans gluten colorent naturellement la peau grâce aux caroténoïdes, activent le bronzage et préservent le corps des méfaits des UV.

Pour celles qui rentrent de vacances : Bioderma, Avène, Lierac

Garder un bronzage durable sans entamer son capital santé, c’est possible. Il est nécessaire d’enduire au moins toutes les deux heures et après chaque baignade une crème ou une huile avec un fort indice anti-UV. La Brume Solaire Invisible SPF 50 Photoderm Bronz de Bioderma offre une protection optimale, évitant déshydratation, taches pigmentaires et coups de soleil tout en prolongeant durablement le hâle des vacances. Si l’épiderme se sent agressé par les rayons UV, le Spray d'Eau thermale d'Avène peut être vaporisé régulièrement pour le rafraîchir et en atténuer les irritations. Ce produit convient parfaitement aux peaux de nature sèche. En fin de journée, le Sunissime Lait Réparateur Après Soleil de Lierac apaise le corps en lui apportant un coup de frais grâce à la technologie cryo-effect. Il présente aussi des actions anti-rides, raffermissantes et tonifiantes. Pour ne rien gâcher, sa texture fine et fondante déploie un délicat parfum de fleurs blanches.

Pour celles qui ne partent pas en vacances : Sephora Collection, Vita Liberata, Nuxe

Quelques astuces peuvent inspirer le sentiment d’être partie loin et longtemps. Le bronzer s’avère efficace pour apporter un effet bonne mine. Avec sa texture légère et nacrée, la Poudre de Soleil Sun Disk de Sephora Collection s’applique au pinceau sur les pommettes, le front, le menton, l’arrête du nez et le cou. Elle se fond à la carnation naturelle et floute les défauts. Les utilisatrices de Lucette l’apprécient aussi pour son format généreux. Le soin autobronzant Beauty Blur Sunless Glow de Vita Liberata donne également l’illusion d’un teint doré à l’année. Les nacres réflectrices de lumière camouflent les imperfections et lissent l’épiderme pour un résultat éclatant. Le plus ? Son petit format permet de voyager partout avec soi. La touche finale : pour laisser un vent d’exotisme dans son sillage, L’Eau Délicieuse Parfumante de Nuxe Sun, composée à 85,6% d’ingrédients d’origine naturelle, développe des notes d’orange douce, de coco et de tiaré. Un jus solaire à vaporiser dans les cheveux pour décupler la sensation de vacances.

À l’heure où les Français achètent leurs premières crèmes solaires, une question revient : ces formules sont-elles nocives pour les océans ? L’an dernier, l’État d’Hawaï décidait d’interdire dans ses lagons les produits bronzants à base d’oxybenzone ou d’octinoxate, mais une batterie d’études a tenté récemment de relativiser l’impact des cosmétiques sur l’écosystème marin au regard du réchauffement des eaux et des ravages de la pêche électrique.

À Biarritz, peu importe, on reste concernés. Quand elle crée un soin protecteur, Sylvie Peres, fondatrice de la petite marque à succès Alaena, la débarrasse de toutes nanoparticules. Depuis quinze ans, elle milite à la fois contre les pollutions des mers issues de la mauvaise gestion des eaux usées et de la surconsommation des détergents (qu’elle dénonce fréquemment auprès des mairies du littoral atlantique) et pour une cosmétique « clean». « En déchiffrant les ingrédients des listes INCI contenus dans les crèmes que je prescrivais, j’avais noté la présence de CRM (cancérogène, mutagène et reprotoxique, toxique à la reproduction), raconte la dermatologue basque. À l’époque, je n’achetais que des aliments bio mais je conseillais à mes patients des onguents contenant des perturbateurs endocriniens et des cancérigènes, ce qui n’avait pas de sens. » Nous sommes en mai 2004, un groupe de scientifiques et d’écologistes de haute volée vient de se réunir à l’Unesco pour le colloque « Cancer, environnement et société », concluant que le développement de nombreuses maladies est consécutif à la dégradation de l’environnement.

Sylvie Peres se tourne vers les bonnes recettes d’antan et fait réaliser en pharmacie des préparations magistrales dont elle contrôle entièrement la traçabilité. Ces formules sont très efficaces sur les pathologies des patientes, mais elles manquent de glamour dans le packaging et les textures. L’idée de concevoir une marque de cosméceutiques germe en 2015 quand Anne, sa fille aînée ingénieure, ouvre le spa Alaena à Biarritz avec son père, chirurgien esthétique. Dans l’offre proposée, il manque une ligne bio aux formules concentrées en actifs, approuvées par le milieu médical. « J’ai commencé par éliminer tous les ingrédients de “remplissage”, peu coûteux mais qui ne servent pas à grand-chose, et sans lesquels on peut quand même obtenir des textures agréables », dit-elle. Dans sa liste noirede suspects : les acrylates, des épaississants supposés être cancérigènes, neurotoxiques et reprotoxiques ; le phénoxyéthanol, un conservateur ayant remplacé les parabens ; le sodium laureth sulfate, un détergent jugé irritant pour la peau.

Du Rocher de la Vierge au George-V

Lancées fin 2017, fabriquées dans un laboratoire du Sud-Ouest, ses 14 références pour le visage et le corps promettent plus de 50 % de principes actifs (contre environ 20 % habituellement) issus de la biotechnologie, d’huiles végétales biologiques, de conservateurs naturels et d’un actif breveté élaboré à partir de graines germées. La germination permet en effet d’augmenter le taux de vitamines et des acides aminés favorisant la production de collagène. Dernière-née de la gamme, la Crème Réparatrice offre des résultats spectaculaires sur les eczémas et calme les peaux les plus sensibles après une exposition au soleil. Les packagings sont recyclables et les produits certifiés Ecocert Cosmos, le label bio européen. Vendues dans les spas, dont le George-V à Paris, elles font la fierté des Biarrots comme le bonheur des Français férus de minimalisme cosmétique.

À partir de 42 € le soin solaire et 55 € l’huile nourrissante, sur www.alaena-cosmetique.com.

Sur Instagram, on la voit déambuler entre le café de Flore et la Butte Montmartre, vêtue d’un trench et d’une marinière, coiffée d’une frange qui lui mange les yeux, laissant l’empreinte de son rouge à lèvres sur la tasse d’un expresso ou sur un verre de bordeaux. Ça, c’est pour le cliché. Une chose est sûre : la Parisienne inspire toujours le monde entier, incarnée par des muses du cool chic (Charlotte Gainsbourg, Caroline de Maigret, Ines de la Fressange…) et par une jeune garde d’influenceuses aux singularités multiples (Amélie Pichard, Michaëla Thomsen, Jeanne Damas, qui vient de publier À Paris, aux Éd. Grasset, un recueil de vingt portraits de Parisiennes dans la «vraie» vie).

Les astuces beauté préférées de Joséphine Le Tutour

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Camouflage light

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L’art du teint frais

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Recettes exclusives

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La Parisienne se joue des conventions

Inspirante, car inspirée de références et pétrie de culture. «Un style a une histoire. C’est en lisant, en allant à des concerts, à des expos, que lon développe ses propres goûts et que l’on devient soi», nous avait confiés Caroline de Maigret. Sa façon de vivre imprègne son look. On l’envie pour son allure chic et décontractée, son sens des essentiels et sa liberté de twister les codes ou de se moquer des conventions. Exemples ? Un chignon saut du lit avec une robe de soirée, un mascara qui file aux coins des yeux que l’on frotte pour improviser un smoky, un lipstick utilisé en guise de blush, ça, c’est Paris ! «Décaler et ne pas être premier degré, c’est le sport préféré d’une Parisienne. Elle trouve toujours une façon de transformer sa maladresse en effet de style», décrypte Ines de la Fressange dans La Parisienne (Éd. Flammarion). Elle ajoute également ce conseil beauté : «Elle ne se pomponne pas pour sortir : mieux vaut être naturelle et fraîche le soir et maquillée le matin, c’est plus moderne !» Dont acte.

La Parisienne maîtrise l’art du coiffé décoiffé

Vues de Los Angeles, «les Parisiennes sont toujours parfaitement coiffées sans rien faire !», décrypte Philip B., hair coach des stars et créateur de soins capillaires (best-sellers au Bon Marché). «Contrairement aux Américaines, qui aiment les effets visibles, aiment montrer qu’elles ont fait un effort avec des effets de mèches marqués, des coiffures sophistiquées et des brushings très voluptueux, les Parisiennes ont des cheveux naturellement chics, brillants, avec des coupes impeccables. Jamais trop transformés ou saturés par la couleur ou les traitements… Ils sont d’une parfaite simplicité.» On le doit beaucoup aux artisans coloristes (Christophe Robin, Frédéric Mennetrier, Stéphane Pous ou Rodolphe, qui maîtrisent les palettes et les patines subtiles) et aux coiffeurs parisiens, imprégnés de culture mode. Ils distillent une French touch, via des coupes et des coiffages instinctifs : Delphine Courteille, célèbre pour ses coupes à sec ultrastylées ; Charlie En Particulier, pour ses coupes rock et de caractère ; David Lucas, pour ses carrés francs et doux ; Bernard Friboulet (Très Confidentiel), qui réalise des coupes durables. Sans oublier les nouvelles têtes qui font souffler un vent de liberté dans les chevelures : Matthieu Séguier, Charlotte Catherin et Stéphane Fenoglio au salon Tandem, Pauline et Jonathan chez Bobby Pins.

La Parisienne aime le rouge

Chic et cool : tel est le manifeste du rouge à lèvres que la Parisienne aime arborer avec un visage nu, sans make-up, ou une tenue décontractée. Ou avec les deux. Un rouge à lèvres porté avec des baskets, c’est comme twister un look jean/tee-shirt avec des stilettos : ça sophistique. Il est devenu une pièce maîtresse au même titre qu’un accessoire de mode (Rouje Paris, le e-shop mode de Jeanne Damas décline une ligne de lipsticks dans l’esprit de sa collection de vêtements). Certaines marques de niche font le buzz en proposant des rouges made in Paris, fabriqués en petites séries : La Bouche Rouge Paris, une maison de rouge à lèvres fabriqués sur mesure, rechargeables et écoresponsables ; Irisé Paris, qui met ses rouges Mat Madame en tubes ou dans des boîtiers design personnalisables. Le tout est à découvrir au Théâtre de la Beauté du Bon Marché Rive Gauche, où la Parisienne adore flâner.

La Parisienne pille la French pharma

Elle vit à cent à l’heure, aime les produits simples, pratiques et efficaces, qui font leurs preuves depuis des générations, et elle «shoppe» ses basiques essentiels dans les pharmacies. Best-sellers mythiques depuis des générations ? L’eau micellaire Créaline H2O de Bioderma, qui démaquille en un seul geste, le Lait-Crème Concentré Embryolisse, multi-usages, l’eau de lait Collosol (Karl Lagerfeld aussi en était fan), la Cold Cream Avène ou le tube d’Homéoplasmine : de vrais pansements de peau ; le Shampooing sec Klorane, pour rafraîchir ses cheveux, les eaux thermales (Vichy, Avène, Uriage…) à pschitter pour rafraîchir son make-up ; l’Huile Prodigieuse de Nuxe et ses déclinaisons cosmétiques ; L’Eau de Beauté et les formules antioxydantes issues de la vigne signées Caudalie ; le Pschitt Magique et les soins botanico-ensorcelants signés Garancia. À suivre : la nouvelle génération de soins cosmétiques imaginée par des jeunes et talentueuses pharmaciennes (La Rosée, Gallinée, Cosmetics 27…).

La Parisienne circule en roue libre

Elles sont de plus en plus nombreuses à sillonner la ville à vélo, mais aussi à s’inscrire aux cours d’indoor cycling, qui mixe pédalage intensif sur un vélo fixe et séance cardio en musique, avec un coach, pendant quarante-cinq minutes. Ça défoule, c’est intense, ça galbe les jambes et ça bétonne les abdos-fessiers. Tellement, que les cours sont bondés ! Aux Studios Dynamo Cycling Opéra, Boétie et Oberkampf (Tél. : 0 808 53 13 39) et Summit (Tél. : 09 83 06 33 53).
Toujours en mouvement, la Parisienne marche aussi beaucoup en ville. Et pas toujours en ballerines ou baskets Prada ! Alors elle fréquente assidûment le podologue, une spécialité made in France reconnue dans le monde entier. Entre deux séances, elle suit les conseils du pédicure Bastien Gonzalès : «Comme on se lave les dents, on doit aussi masser ses pieds chaque soir. Une minute suffit. Avec une crème, on détend et "dégriffe" bien les orteils, on travaille les coussinets adipeux sous la plante des pieds ; on pétrit les talons… Pas besoin de technique, les mains agissent d’instinct.» La city trotteuse connaît aussi les vertus du talc, qui forme comme une chaussette invisible amortissant l’inflammation due aux chocs sur les pavés.

C'est en janvier 2016 que le pharmacien lillois Charles Cracco a l'idée de créer sa marque de cosmétiques naturels, à base de produits cultivés au potager du roi à Versailles. Construit en 1683 pour fournir à Louis XIV et à sa cour des fruits et légumes pendant toute l'année, le potager du roi est un monument historique classé et abrite aujourd'hui l'École nationale supérieure de paysage qui forme les grands paysagistes de demain. C'est au détour d'une simple visite au château qu'un guide lui fait découvrir le lieu : «J'habite à Versailles depuis sept ans et à chaque fois que ma famille vient me rendre visite, c'est un peu le passage obligé. Au bout d’un moment, j’en ai eu un peu marre de voir les mêmes choses. Un guide qui savait que j'étais pharmacien m'a parlé alors du potager», explique Charles Cracco.

Les secrets de beauté de Marie-Antoinette

Inspiré par cette trouvaille, le jeune homme va écumer pendant de longs mois les bibliothèques à la recherche des secrets de beauté de la cour du Roi-Soleil. Il se plonge dans les recueils de Jean-Louis Fargeon, parfumeur officiel de la cour et dans ceux de Pierre-Joseph Buc'hoz, le médecin botaniste de Marie-Antoinette. «Deux époques se sont succédé, confie Charles Cracco, celle de la «toilette sèche» où l'on se parfumait énormément puis celle de la «toilette de Flore» (à base de produits végétaux plutôt que des fards chimiques) popularisée par Marie-Antoinette.» Arrivée à Versailles à seulement 14 ans, l'Autrichienne a bouleversé les pratiques cosmétiques existantes. Très populaires, les teints fardés se retrouvent démodés, la cour se met à utiliser des produits cosmétiques naturels aux extraits végétaux. Des recettes d'Antan qui donnent des idées à Charles Cracco. Il va alors contacter la direction du potager du roi et leur soumettre un projet «un peu fou» : fabriquer des produits de beauté avec des ingrégients cultivés au potager. Convaincue, la direction lui laisse carte blanche. Dix mois plus tard, Mademoiselle Saint Germain voyait le jour. Un nom choisi en référence au Comte de Saint-Germain, qui si l'en on croit les légendes aurait découvert le secret de la beauté éternelle.

Deux gammes de soins "royaux"

Mais difficile pour le pharmacien de recréer à l'identique certaines de ces recettes d'antan : «Lorsque j'en trouvais une intéressante, il fallait que je repère à l'intérieur les ingrédients nocifs pour la santé comme le mercure, le plomb ou encore la bergamotte (qui chez certaines personnes peut déclencher avec le soleil une réaction de photosensibilité). Une fois ces ingrédients écartés, j'ai regardé s'il y avait la quantité suffisante dans le potager pour parvenir à créer des produits de beauté», précise le patron d'entreprise. Au final, en prenant en compte tous ces critères, seulement une infime proportion de toutes les recettes imaginées autrefois sont réalisables.

Pour sa toute première collection, le pharmacien s'intéresse à l'Eau de la Reine de Hongrie, à base de romarin et très populaire du temps de Marie-Antoinette. Trois produits sont alors imaginés : une lotion, une crème de jour et un baume. L'année d'après, il réussit à convaincre l'École nationale supérieure de paysage de réintroduire au potager du roi le concombre blanc de Bonneuil, une variété disparue depuis des siècles et connue pour ses propriétés hydratantes. La première récolte est un succès. Le pharmacien conçoit alors un soin contour des yeux, une seconde crème de jour et un masque gommant au sable blanc de Fontainebleau.

Valoriser le patrimoine français

Loin d'être une marque réservée aux touristes, Mademoiselle Saint Germain a pour ambition de proposer une nouvelle approche de la beauté comme l'explique Charles Cracco : «C'est une démarche authentique. On fait travailler de petits producteurs. Dans l'imaginaire collectif, on a tendance à penser que plus il y a d'ingrédients dans un produit, mieux c'est. On cherche à démontrer le contraire. Nos produits contiennent 92 à 98 % d'ingrédients naturels français ou élaborés en France, ils ne sont pas testés sur les animaux, mais éco-responsables et équitables.» Pour preuve, Mademoiselle Saint Germain a réussi à obtenir le score de 100/100 sur l'application Yuka. Y aura-t-il bientôt un «Monsieur» Saint Germain ? «Oui, pourquoi pas on y pense !», lâche le pharmacien. Pour l’instant, il préfère se concentrer sur la sortie d'un savon liquide «qui mousse mais sans sulfates», un sérum à la gelée royale miel et thym ou encore un baume pour le corps. Marie-Antoinette n'en a pas fini de nous livrer tous ses secrets de beauté...

Mademoiselle Saint Germain, produits de beauté à partir de 9,90 euros. Disponibles sur mademoisellesaintgermain.com et dans la boutique du Potager du roi au 10 rue du Maréchal-Joffre, Versailles.

La beauté devient de plus en plus green et les marques se mettent presque toutes à la transparence. En plus de scanner nos produits avec l'application Yuka, on regarde aujourd'hui de plus en plus les étiquettes des produits cosmétiques pour éviter notamment les ingrédients allergènes.

Du volume au confort

Mais leur efficacité est aussi l'une de nos priorités. Le magazine 60 millions de consommateursde mai a ainsi mis les mascaras, qui restent des indispensables de notre vanity, au banc d'essai. Ils ont voulu savoir si ces derniers tenaient leurs promesses souvent hautes en matière de volume notamment et de confort. Parmi ceux qui obtiennent la mention «très satisfaisante» pour l'effet cils XXL, on trouve le Volume Millions de Cils de L'Oréal et Volume Effet Faux Cils de YSL. Concernant l'effet séparateur, ce sont Kiko, Dior ou encore Yves Rocher qui se distinguent.

La sélection de mascaras sûrs, selon UFC Que Choisir

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Notre sélection de mascaras sûrs, selon UFC Que Choisir - Clarins

Notre sélection de mascaras sûrs, selon UFC Que Choisir - Clinique

Notre sélection de mascaras sûrs, selon UFC Que Choisir - Avril

Notre sélection de mascaras sûrs, selon UFC Que Choisir - La Roche-Posay

Notre sélection de mascaras sûrs, selon UFC Que Choisir - Lily Lolo

Notre sélection de mascaras sûrs, selon UFC Que Choisir - Revlon

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Si on tient compte de plusieurs critères (présentation, confort, texture, performance, couvrance, allergènes...), ce sont les marques L'Oréal, YSL, Claris, Yves Rocher ou encore So'Bio Etic qui tiennent le haut du podium. Le magazine en profite également pour donner des conseils pour une application sans risque : ne pas déposer le mascara trop au ras des cils, ni en trop grande quantité. Pour le reste de notre trousse beauté, il faut se pencher sur le classement réalisé par le hors-série de 60 millions de consommateursédition de juillet-août 2017 intitulé «Cosmétiques non toxiques : le guide des produits sains et sûrs».

Personnaliser sa recherche de cosmétiques, c’est possible ? Oui, avec Lucette.com. Il suffit de se rendre sur le site et de répondre au questionnaire beauté en ligne. On profite ainsi de suggestions adaptées à notre type de peau ou notre budget. Le site permet également de retrouver des avis de passionnées de beauté, des photos, des swatchs produits, des témoignages en audio et vidéo... et de tester gratuitement des produits en exclusivité. Parmi les soins aux textures fraîches, réconfortantes ou amusantes, découvrez ceux plébiscités par l'équipe Lucette.

Le top 10 des textures qui donnent envie

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Les textures réconfortantes

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Les textures amusantes

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Les textures fraîches : N.A.E., Diadermine, Patyka, L’Occitane

Sensation de plaisir et de confort assurée avec les Gels douche certifiés BIO de N.A.E. La marque propose trois gammes vegan, sans paraben et composées à 97% d'ingrédients d'origine naturelle : freschezza aux extraits de romarin et de feuilles de thym bio rafraîchissants, vitalità aux extraits de citron bio et de mandarine bio revitalisants, idratazione aux extraits de figue bio et d'hibiscus bio hydratants. Même le packaging en plastique végétal à base de canne à sucre offre un toucher plaisant. Sur le visage aussi, le sentiment de fraîcheur a son importance. La texture soyeuse et fluide du Lait Micellaire Purely Essential de Diadermine convient aux peaux les plus sensibles. Ce démaquillant sans parfum, colorant, silicone, huile minérale ni sulfate nettoie les impuretés et élimine le maquillage. Le plus ? Nul besoin de rinçage. La Crème Lactée Hydra-Apaisante de Patyka plaît pour son parfum fruité aux notes de cassis, de prune et de jasmin. Sa formule à base d’eau du glacier du Mont-Blanc donne un coup de frais à la peau. Le complexe végétal pro-céramides, quant à lui, se charge de restaurer la barrière cutanée en surface tandis que le bisabolo végétal apaise l’épiderme. Ce soin de jour à appliquer sur le visage, le cou et le décolleté, convient aux peaux déshydratées et sensibles. Autre produit à la texture appréciée : le Gel Ultra Désaltérant Aqua Réotier de L’Occitane qui s’utilise matin et soir en évitant le contour des yeux. Ses microbulles refroidissent instantanément le visage en le nourrissant en profondeur, le tout sans effet gras. On doit ces effets à ses principaux actifs : l’eau de source pure du parc National des Ecrins dans les Hautes-Alpes, l’acide hyaluronique et la glycérine.

Les textures réconfortantes : By Terry, Caudalie, Ren

La première sensation cosmétique du matin et du soir passe par le démaquillage, d’où l’intérêt de choisir une formule source de bien-être. Le démaquillant Cellularose Nutri-Pure - Baume Démaquillant Douceur Éclat de By Terry fait partie de ces produits recommandés par les utilisatrices de Lucette. Fondant et non gras, il s’applique comme un baume, avec les doigts, en mouvements circulaires sur le visage et les yeux. On rince ensuite avec une lotion pour enlever les impuretés et laisser apparaître des traits doux et éclatants. Les peaux sèches, sensibles ou déshydratées adoreront la CrèmeVinosource S.O.S Hydratation Intense de Caudalie. Ce soin à la texture agréable laisse sur le visage une sensation de confort sans fini gras ni poudré. 97 % de ses ingrédients sont d’origine naturelle : eau de raisin bio apaisante, polyphénols de pépins de raisin antioxydants, huile de bourrache régénérante et squalane d’olive bénéfique pour la restauration de la barrière lipidique. Pour ne rien gâcher, il dégage un parfum subtil mixant bergamote, mandarine, feuille de citronnier, de concombre et de menthe fraîche. Pour apporter au visage un bain d’hydratation, on se tourne vers le Masque Apaisant Ultra-RéconfortantEvercalmde Ren. L’extrait de champignon blanc calme les irritations, l’huile de graine de canneberge atténue les rougeurs et l’huile de graines d’airelle rouge contre les effets nocifs des radicaux libres. À poser en quantité généreuse, à raison de trois fois par semaine. Après avoir laissé agir pendant 10 à 15 minutes, on retire l’excédent avec un gant humide.

Les textures amusantes : Belif, Christophe Robin, Lush

Jouer avec des cosmétiques étonnants ? Une thérapie beauté qui plaît beaucoup à la communauté Lucette. Le masque de nuit Aqua Bomb Sleeping Mask de Belif, au-delà d’être efficace, surprend par son aspect. Cette gelée assouplit l’épiderme et rend le visage éclatant. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le masque ne produit aucun transfert sur l’oreiller. De plus, il convient à tous les types de peau. Autre soin innattendu : la Gelée démêlante aux minéraux marinsde Christophe Robin, sans paraben, sans silicone et sans sulfates. Sa texture en gelée fraîche est peu commune pour les soins cheveux. Pourtant, cette formule à base de minéraux marins (zinc, ger, calcium, magnésium et potassium) nourrit, démêle et fortifie les fibres capillaires sans les alourdir. Il suffit de l’émulsionner sur le crâne avant de rincer. Enfin, la poussière d’étoile Silky Underwear de Lush remporte la palme de l’originalité auprès des utilisatrices de Lucette. Le geste hydratant ne passe plus par une crème ou une huile, mais bien par une poudre aux notes estivales de jasmin et de vétiver. Ce produit à base de beurre de cacao et d’amidon de maïs se saupoudre avant de s’étaler sur le corps. La peau devient alors douce comme du velours.

Le 26 mai, les mères seront à l'honneur. Mais entre un parfum, du maquillage ou des soins du visage, que lui offrir pour lui faire plaisir à tous les coups ? Voici notre sélection de cadeaux pour les sublimer, même si elles sont déjà les plus belles à nos yeux.

Le parfum

Le cadeau privilégié à l'occasion de la Fête des mères, à l'exception des bijoux, c'est le parfum, qui fait toujours plaisir. À celles qui collectionnent les beaux flacons, on peut offrir une eau Diptyque, un parfum Jo Malone ou encore un coffret de mini-parfums Frédéric Malle. Les plus classiques opteront quant à elles pour un coffret cadeau efficace avec les parfums du moment comme La vie est belle de Lancôme ou Mon Guerlain de Guerlain. Mais pour changer des traditionnels coffrets, pourquoi ne pas tenter l'expérience de concevoir son propre parfum ? Le Musée du Parfum à Paris organise tous les samedis des ateliers où l'on peut confectionner son eau de Cologne. Le plus ? À la fin de la séance, on peut repartir avec un flacon 100 % personnalisé.

Notre sélection de cadeaux beauté pour la Fête des mères

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Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un coffret de soins du visage Estée Lauder

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Des parfums Frédéric Malle

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un coffret soin du visage à la rose Fresh

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Une manicure au Gloss'up Nail Bar du Printemps

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un parfum Jo Malone

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un coffret Lancôme

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un coffret pour des yeux de biche Marc Jacobs Beauty

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Une palette Urban Decay

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un spa pour cheveux par Dessange

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Une huile de soin Nuxe

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Des masques pour le visage Origins

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un coffret de masques Sephora

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Une escapade dans un spa Rituals à Amsterdam

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Des soins pour le corps Caudalie

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un coffret de maquillage Yves Saint Laurent

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un coffret de parfum Guerlain

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Une poudre libre Givenchy

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Des vernis à ongles Mavala

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un coffret parfum Lancôme

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un soin et une pâtisserie au spa du Lutetia

Sélection de cadeaux beauté à offrir pour la Fête des mères - Un atelier pour fabriquer une eau de Cologne

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Du maquillage pour la sublimer

Avec son mascara, son crayon et son eye-liner, le coffret The Blacquer Eye de Marc Jacobs Beauty permettra de sublimer les regards des mères coquettes. Indispensable dans toute trousse make-up digne de ce nom : une belle palette de fards à paupière. On préférera la choisir dans des tons nude, mats et discrets comme ceux de la palette Naked Reloaded de Urban Decay, de Clarins ou chez Dior. Enfin, on peut lui organiser une séance manucure digne d'une célébrité au Gloss'up Nail Bar du Printemps.

Luxe, calme et volupté

Maman stressée ? On profite de la Fête des mères pour lui offrir une bulle de relaxation dans un spa. Au By Dessange, un soin capillaire permet aux cheveux abîmés de retrouver toute leur vitalité. Pour les gourmandes, le Lutetia propose un soin du visage de 30 minutes accompagné d'une pâtisserie. Ou alors on profite du week-end pour s'envoler à Amsterdam au spa de la marque Rituals. Au programme, un soin du visage anti-pollution de 30 minutes, idéal pour retrouver bonne mine. Enfin, pour les petits budgets, on opte pour des soins du visage à faire à la maison comme avec le trio de masques pour le visage Origins, des masques en tissus pour le visage Sephora ou des soins pour le corps Caudalie.

Réunies lundi soir sur le tapis rose du Metropolitan Museum de New York pour le Met Gala, les célébrités ont rivalisé d'extravagance pour être à la hauteur du thème imposé cette année : le Camp. La notion définie par l'auteure Susan Sontag se traduit dans la mode par des tenues à la fois kitsch et sophistiquées. Après les looks les plus spectaculaires, retour sur les plus impressionnants make-up de la soirée.

La tendance des cils XXL

Aperçus au défilé Valentino haute couture printemps-été 2019, les cils XXL ont inspiré les maquillages des célébrités pour cette édition du Met Gala comme Lady Gaga, Kendall Jenner, Kim Kardashian ou encore Cardi B. Qu'ils soient faux ou simplement boostés par l'effet d'un soin, l'effet «wahou» est garanti. Le mannequin Gigi Hadid se serait-elle inspirée de la série Game of Thrones ? Son make-up immaculé et ses cils blancs XXL rappellent les personnages des marcheurs blancs.

Les maquillages les plus fous du Met Gala 2019

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Audace et bananes

La palme du maquillage le plus réussi cette année revient sans conteste à l'acteur Ezra Miller. L’artiste et maquilleuse Mimi Choi a en effet dessiné en trompe-l'œil trois paires d'yeux sur le visage du jeune homme. Autre apparition surprenante sur le tapis rouge, celle de Jared Leto, venu accompagné de la reproduction de sa tête, portée sous le bras. Une idée empruntée au défilé Gucci automne-hiver 2018-2019 dans lequel certains des mannequins avaient défilé en tenant dans leurs mains une copie de leur propre visage. Emily Ratajkowski s'est quant à elle prise pour un elfe du Seigneur des anneaux avec ses grandes oreilles en plumes ornées de strass.

En vidéo, le strip-tease de Lady Gaga au Met Gala

L'actrice Kristen Stewartétait parfaitement dans le thème de la soirée avec ses sourcils bicolores blancs et orange et ses cheveux décolorés blonds, orange fluo et noirs. Enfin, Cara Delevingne avait assorti son maquillage à sa combinaison rayée multicolore Dior en ajoutant sur son visage un trait orange. Au sommet, la jeune femme avait osé un serre-tête des plus originaux avec des bananes, des mains ou encore des globes oculaires.

Plein fards sur les yeux

Des nuances de pourpre et de violet pour Katie Holmes, Sienna Miller, Jennifer Lopez, Naomi Campbell, Doutzen Kroes ou Adwoa Aboah. Du orange et du doré pour Céline Dion, un dégradé de bleu pour Sophie Turner... Le smoky-eye coloré est définitivement à adopter cette année. Cependant, d'autres personnalités avaient opté pour un eye-liner coloré, comme Elle Fanning et son bleu turquoise ou Ashley Graham et tracé vert.

Le culte de la paillette

Qui dit extravagance, dit paillettes, aussi bien sur les robes que sur les paupières. Mais aussi dans les cheveux, comme dans ceux de Sophie Turner saupoudrés d'argenté ou en simple eye-liner graphique souligné de glitter pour Bella Hadid. Tout ce qui brille est décidément très Camp.

Un sourire ultrabright et des dents parfaitement alignées. C'est ainsi que l'on imagine un beau sourire. Pourtant, les dents du bonheur de Vanessa Paradis, de Lindsey Wixson, de Georgia May Jagger ou de Slick Woods ont quelque chose d'irrésistible. Et Laetitia Casta, Madonna et Kirsten Dunst n'ont jamais voulu refaire leur dentition imparfaite. Ce qui ne les a pas empêchées de briller.

Tout sourire

Mais ce printemps-été, les bouches passent à l'étape supérieure. Gucci, qui vient de lancer début mai sa ligne de rouges à lèvres, a choisi le photographe anglais iconoclaste Martin Parr pour une campagne étonnante. En gros plan, des lèvres laissent apparaître des canines très écartées et pas parfaitement blanches.

La campagne est centrée sur l'idée de la beauté liée à l'imperfection, avec comme figures la chanteuse punk Dani Miller (à laquelle appartient le fameux sourire), et les mannequins Mae Lapres, Achok Majak et Ellia Sophia Coggins. Dans un autre registre, le géant irlandais de la fast fashion, Primark, a fait appel à un modèle à qui il manque une dent.

Prônant la diversité, l'enseigne a choisi des femmes différentes pour sa campagne de maillots de bain hors des standards en vigueur. Sur leur compte Instagram, on découvre ainsi le mannequin Symone Lu, sublime malgré sa spécificité dentaire. Un exemple qui a reçu de nombreux commentaires positifs et montre que le mouvement body positiveest bien plus qu'une simple tendance.

Ce 8 mai, Meghan Markle et le prince Harry ont officiellement présenté leur fils, Archie Harrison. Avec sa robe ceinturée Grace Wales Bonner, ses cheveux lâchés et sa mise en beauté légère, la duchesse de Sussex était radieuse pour sa toute première apparition depuis son accouchement. Et alors que le monde entier attendait avec impatience de découvrirle visage du nouveau-né, c'est un détail de l'apparence de la jeune maman - sa manucure - qui a attiré l'attention.

Une manucure plus naturelle

De nombreux internautes ont en effet remarqué sur les photographies officielles que la duchesse de Sussex avait des ongles carrés bien plus courts qu'à l'accoutumée. Un choix sans doute motivé par la volonté d'éviter de «griffer» par inadvertance son nouveau-né. Autre changement repéré par le site Refinery 29, la couleur de son vernis à ongles. Si d'ordinaire pour ses apparitions publiques elle porte la teinte Ballet Slippers de la marque Essie(le même que la reine, lire ci-dessous), cette fois-ci, la jeune femme a choisi de porter une couleur légèrement plus claire et transparente. Bien que Buckingham Palace n'ait pas communiqué sur le sujet, la journaliste de Refinery 29, avance que la teinte portée serait Allure. D'ailleurs, sur le site Internet de la marque on peut lire que ce vernis est «la discrétion incarnée pour un impact royal». De notre côté, on trouve que la teinte Sheer Fantasy pourrait tout aussi bien correspondre à celle portée par Meghan Markle.

En vidéo, Meghan Markle et le prince Harry présentent leur petit garçon

Le vernis préféré de la reine Elizabeth II

Entre Essie et la famille royale, c'est une histoire qui dure. Elizabeth II porte depuis de nombreuses années la teinte Ballet Slippers. En 1989, Sa Majesté aurait demandé à son coiffeur de contacter Essie Weingarten, la fondatrice de la marque pour lui commander plusieurs flacons de cette teinte car elle «n'envisageait de porter aucune autre couleur». Selon le protocole, les membres de la famille royale doivent avoir (en toutes circonstances) des ongles naturels, propres et bien taillés. Enfin, bonne nouvelle pour celles qui voudraient s'offrir le vernis à ongles de la reine, il ne coûte que 9,90 euros.