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Taches de rousseur : six idées reçues décryptées par un expert

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Vrai ou faux : 6 idées reçues sur les taches de rousseur.

Les taches de rousseur sublimées du mannequin néerlandais Rianne van Rompaey, ici au défilé Chanel prêt-à-porter printemps-été 2017.

Soit on les adore, soit on les déteste. Dans tous les cas, on sait finalement peu de choses à leur sujet. Petite mise au point.

Il est difficile d'identifier les personnes ayant de véritables taches de rousseur. Parfois ces dernières disparaissent sous le fond de teint. Parfois même, on prend pour éphélides (leur nom scientifique) ce qui n'en est pas. Et puis il y a celles, factices, obtenues grâce à un crayon, à un patch ou à un tatouage - une tendance esthétique surprise.

Ainsi, le monde des macules cutanées est bien plus compliqué et vaste que ce à quoi on s’attendait. Heureusement, Catherine Oliveres-Ghouti (1), dermatologue-vénérologue, nous aide à y voir plus clair en revenant en détail sur six stéréotypes associés aux spécificités pigmentaires des peaux claires.

Une particularité des roux à la peau pâle et aux yeux clairs

Vrai... et faux. La mélanine, à l’origine de la fabrication des pigments qui colorent notre peau et nos cheveux sous l’effet de l’exposition au soleil, se subdivise en deux types de composants : l’eumélanine et la phaeomélanine. Le premier composant fabrique des pigments foncés, dont l’accumulation engendre le bronzage. Le deuxième, la phaeomélanine, produit une coloration brun clair, rousse. Les personnes à la carnation de phototype 1 (c’est-à-dire très claire), ne possèdent que cette dernière. Lorsqu’elles sont exposées aux rayons UV, elles ne bronzent pas, mais produisent de manière très localisée des éphélides orangées, leur mécanisme de défense à elles.

Alors qui possède cette carnation de phototype 1 à l’origine des taches de rousseur ? Toutes les personnes dont au moins un des deux parents a le gène "peau claire", puisque celui-ci est dominant et héréditaire. «Donc si dans la famille il y a des blonds ou des roux, même si l’on a des cheveux bruns mais la peau claire, on peut avoir des taches de rousseur en été», sur les zones exposées, simplifie le docteur Oliveres-Ghouti.

Elles apparaissent et disparaissent avec l’âge

Faux. Comme énoncé précédemment, les véritables éphélides des peaux claires apparaissent lors de l’exposition aux rayons UV. De ce fait, il est vrai qu’aucun nourrisson ne naît avec le visage parsemé d’éclats orangés. Mais plus on grandit, plus les occasions de s'exposer sont nombreuses, et avec elles les chances que la phaeomélanine fasse son travail.

Par ailleurs, qui dit peau de phototype 1 dit aussi peau plus fragile. L'épiderme d'un enfant à la carnation pâle est encore plus faible face aux dangers des ultraviolets. Donc plus susceptible de produire des éphélides. Ce qui explique pourquoi notre progéniture présente souvent plus de marques que les autres.

Elles n’apparaissent que quand il y a du soleil

Vrai... et faux. Chez les roux, «[ces taches] persistent toute la vie, sur les zones exposées», leur apparition est irréversible. Autrement dit, plus ces personnes profitent des rayons du soleil, plus elles auront des éphélides, quel que soit leur âge.

Pour les autres personnes de phototype 1, elles peuvent «disparaître plus ou moins totalement en hiver », selon le docteur Oliveres-Ghouti. La spécialiste va plus loin : «Chez les blonds, [les taches de rousseur] s’atténuent l’hiver et réapparaissent lors des expositions solaires, surtout au niveau du visage, sur le nez et les joues». Les zones les plus dégagées en période estivale donc.

Les peaux concernées nécessitent deux fois plus d’hydratation

Vrai. Les peaux les plus claires «sont souvent plus fines que les mates... donc plus sèches .» L’analyse de la dermatologue est on ne peut plus simple : les épidermes de phototype 1 sont plus fragiles et nécessitent plus de soin en conséquence. On parle ici d’hydratation pure et dure oui, mais aussi de protection. En effet, «le risque de mélanome [un cancer de la peau dû à la multiplication de manière anarchique des mélanocytes sous l’effet de surexpositions solaires] est corrélé au phototype clair» et a plus de chance de survenir en bas âge.

La spécialiste préconise tout d’abord une protection solaire irréprochable : pas de soleil entre 11 heures et 16 heures, «ou si on est dehors, protection vestimentaire avec tee-shirts anti-UV, chapeau…», en plus de l’application de crème solaire indice 50+. Cette dernière recommandation est aussi valable aux autres périodes de la journée, et la pose de crème est «à renouveler toutes les deux heures».

Les taches de rousseur peuvent devenir cancérigènes

Faux. Les éphélides n’ont pas toujours eu la réputation facile, que ce soit d’un point de vue esthétique ou sanitaire. Le fait qu’elles se regroupent parfois pour former de larges «plages brun clair ou ocre» n’arrange pas les choses. Le Dr Oliveres-Ghouti se charge de rétablir la vérité : «Non, les taches de rousseur ne se transforment pas en cancer, mais par contre, le fait d’être blond ou roux et d’en avoir est un facteur de risque accru vis-à-vis de l’apparition de mélanome ou de carcinome (un cancer de la peau moins agressif)». En outre, il n’existe aucun lien entre éphélides et grains de beauté, ces derniers étant des amas bénins ou malins de mélanocytes, produits de l’eumélanine.

Il existe des moyens pour les faire disparaître

Faux. La dermatologue-vénérologue est catégorique : «Non, on ne fait pas disparaître les taches de rousseur», et «ni les recettes de grand-mère, ni même les crèmes en pharmacie» ne seront efficaces. S’exposer à minima se révèle sûrement la meilleure solution pour éviter leur propagation numérique.

(1) Catherine Oliveres-Ghouti est dermatologue-vénérologue sur Paris, membre du bureau du Syndicat national des dermatologues.

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Une étudiante américaine commercialise un rouge à lèvres anti-Trump

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Le rouge à lèvres anti-Trump

Après les pussy hats, le rouge à lèvres anti-Trump est l'accessoire de la résistance face au nouveau président américain et à sa politique.

Ce rouge à lèvres signéLipslut, une start-up américaine, se veut 50% caritatif et 100% anti-tyrannie. Ou quand la cosmétique devient politique.

Pourquoi utiliser un rouge à lèvres lambda quand on peut donner à ce geste beauté une toute autre envergure ? C’est l'idée de Katie Sones, une étudiante en graphisme et communication originaire de Californie. La jeune Américaine s’est lancé ce défi après l’élection de Donald Trump, pour lutter à sa manière contre la politique du nouveau président portant atteinte aux femmes. Si de nombreuses marches de protestation ont eu lieu, l’étudiante a trouvé un moyen original pour protester contre le président élu. Elle a lancé sa proprestart-up de rouge à lèvres baptisée du nom évocateur et vulgaire de Lipslut (fusion de lip, lèvre, et slut, salope). «Les gens vont, de toute façon, acheter un rouge à lèvres. Donc, si vous pouvez en acheter un, dont l’argent va financer des causes, ce serait parfait», confie-t-elle au site Mustangnews.net.

Ce gloss rose discret, à mi-chemin entre le pastel et le nude, est vendu sur le site de la marque pour 19,95 dollars. Le produit est présenté dans un e-shop au design flashy, avec portrait façon Pop art de Trump affublé d'un maquillage criard. Le message inscrit sur le packaging du produit est limpide : F*ck Trump.

Après le pussy hat, le rouge à lèvres

Le principe ? Une fois le rouge à lèvres acheté sur l'e-shop, le consommateur vote en faveur de l’association à laquelle il souhaite que 50% des bénéfices soient reversés. Puis, les fonds seront attribués à celle qui aura reçu le plus de votes. Le Planned Parenthood, Human Rights Campaign ou encore The National Organization for Womanfont partie de la liste des organismes bénéficiaires. Et pour ne rien gâcher, le Lipslut est fabriqué de manière éthique et responsable, sans être testé sur les animaux. Après le pussy hat, le rouge à lèvres vient donc s'ajouter à la liste des accessoires anti-Trump.

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Reese Witherspoon s'associe à Elizabeth Arden

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Reese Witherspoon choisit d'associer son image - et son talent - à la marque Elizabeth Arden

L'actrice américaine a été nommée "storyteller-en-chef" de l'enseigne de produits de beauté.

L’actrice et femme d’affaires dépasse le cadre de simple égérie pour incarner les valeurs de la marque Elizabeth Arden.

Jeudi 30 mars 2017, la marque américaine de produits de beauté Elizabeth Arden a annoncé la nomination de Reese Witherspoon au poste de «storyteller-en-chef». Mais en quoi consiste exactement ce nouveau rôle qui relègue au placard le simple titre d'ambassadrice ou d'égérie ?

Un projet à l’initiative de l’actrice

Pour faire simple, l'actrice américaine, mère de deux enfants, va porter les valeurs entrepreneuriales, féministes, et d’innovation de la marque. Elle représente en effet une version actuelle de la self-made woman qui inspire l’entreprise. «Reese incarne les idéaux de notre fondatrice et continue à repousser sans cesse les limites. Tout comme Elizabeth Arden avant elle, Reese n’accepte pas la norme, elle la définit, ce qui fait d’elle la femme idéale pour représenter la marque et créer un lien avec nos clientes dans le monde entier.» explique JuE Wong, Président de la marque dans un communiqué.

Différents canaux digitaux et publicitaires s’offriront à elle : ceux de la marque Elizabeth Arden, et les siens. Elle fera ainsi la promotion de l’enseigne aussi bien en tant qu’égérie pour quelques campagnes spécifiques, que sur sa propre page Facebook et sur les publications de ses entreprises personnelles. Mais son rôle va encore plus loin : création de contenu web, gestion des publications sur les réseaux sociaux ou encore développement de l’avatar virtuel Liz Arden. On est bien loin du simple visage prêté à une marque.

Une filiation évidente

Un siècle les sépare et pourtant, Elizabeth Arden, de son vrai nom Florence Nightingale Graham, et Reese Witherspoon ont de très nombreux points communs. La première, née en 1878, compte parmi ces femmes pionnières à avoir révolutionné un monde entrepreneurial jusqu’alors uniquement représenté par des hommes. Reese Witherspoon, elle, trône depuis des années sur le podium des actrices les mieux payées du monde et a reçu l’Oscar de la meilleure actrice pour Walk the Line, de James Mangold, en 2006. Mais son succès ne s'arrête pas aux frontières du septième art. On ne compte plus en effet le nombre d’entreprises couronnées de succès dans lesquelles s’est lancée l’intrépide blonde dont notamment son site de e-commerce Draper James ou encore sa société de production Hello Sunshine. Enfin, comme son aînée avant elle, elle encourage les jeunes femmes à se lancer, à entreprendre, à s’exprimer. «En tant que l’une des premières femmes chefs d’entreprise, Elizabeth Arden a ouvert la voie à d’autres femmes comme moi. C’est un honneur que de poursuivre son héritage et de faire partie d’une entreprise aussi emblématique qui s’emploie à être au service des femmes.» s'est réjouie la comédienne que l'on peut voir actuellement aux côtés de Nicole Kidman dans la série Big Little Lies.

Une nomination qui fait véritablement sens donc. De quoi assurer à la marque de beauté et à l’actrice business woman de beaux jours devant elles.

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Emma Smet, l'autre petite-fille de Johnny Hallyday

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Emma Smet, la nouvelle 'fille de' en vogue

Emma Smet rejoint sa maman Estelle Lefébure pour la dernière campagne Mixa 2017.

À 20 ans, la petite sœur de Ilona Smet est le nouveau visage Mixa et semble prendre le même chemin que leur mère, Estelle Lefébure.

Dans la famille Smet, on connaissait déjà Laura, la fille de Johnny Hallyday et Nathalie Baye, et Ilona, petite-fille du chanteur, fille d'Estelle Lefébure et de David Hallyday, et égérie IKKS. C'est désormais à la cadette d'Estelle et David, Emma, de tirer son épingle du jeu familial. Présentations.

Pourquoi parle-t-on d'elle ?

Emma Smet, bientôt 20 ans, et plus de 12.000 abonnés sur Instagram, est à l'affiche de la dernière campagne Mixa - qui célèbre les 10 ans de leur produit emblématique, le Lait Corps Réparateur. La jeune femme pose avec sa mère, Estelle Lefébure, au côté du duo formé par l'actrice et ancienne Miss France, Sonia Rolland, et sa fille.

Qui est-elle ?

À en croire son compte Instagram fourni, Emma Smet a tout d'une jeune fille comme les autres, sortie de l'adolescence. À quelques détails près, comme par exemple son arbre généalogique... Petit rappel des faits : avant d'épouser Laeticia Hallyday, Adeline Blondieau ou encore Nathalie Baye, Johnny Hallyday a convolé en premières noces avec Sylvie Vartan. Ensemble, les deux vedettes de la chanson française ont eu David, marié - un temps - au mannequin Estelle Lefébure. De cette union sont nées Ilona - découverte courant 2016 - et Emma, sa cadette. Les deux sœurs comptent donc pour grand-mère Sylvie Vartan et pour grand-père Johnny Hallyday, dont l'actuelle femme est plus jeune que leur propre mère...

Que sait-on d'elle ?

Si ses nombreux clichés aux quatre coins du monde - son compte Instagram ressemble à une publicité pour une agence de voyages - laissent deviner un quotidien hors du commun, Emma Smet n'en reste pas moins une jeune femme de 20 ans, avec tout ce que cela comporte d'insouciance et de naïveté.

Étudiante à la célèbre Central Saint Martins College of Art de Londres, la jeune femme multiplie les activités sportives, les virées entre copines et les soirées déguisées ; elle se balade en micro-short en jean et crop top ; quand elle n'expérimente pas les affres du selfie ou multiplie les crushes en abusant des émoticônes «cœur». S'il est encore un peu tôt pour lui prédire un avenir en tant que mannequin, nous ne pouvons que constater qu'entre sa mère et sa sœur, elle est à bonne école !

Emma Smet, "fille de" et "petite sœur de" :

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Qui est Thylane Blondeau, la plus jeune égérie L'Oréal Paris ?

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Thylane Blondeau égérie L'Oréal Paris

Repérée depuis son plus jeune âge, Thylane Blondeau vient d'être nommée, à 16 ans, égérie L'Oréal Paris. Itinéraire stratégique d'une star de demain.

Un visage de poupée, des lèvres ourlées... Thylane Blondeau fascine depuis sa plus tendre enfance. Et pour cause, elle a été élue à 4 ans plus belle fille du monde. Aujourd'hui, la petite Française vient de rejoindre la team d'ambassadrices L'Oréal Paris à tout juste 16 ans... ce qui fait d'elle la plus jeune égérie de la marque. Retour sur le parcours de ce mannequin précoce.

L'ADN : Thylane Lena-Rose Blondeau est (encore) une «fille de». Certes, la popularité de sa mère, l'ex-animatrice de télévision Véronika Loubry appartient à une époque révolue. Son père, le footballeur Patrick Blondeau, a quant à lui évolué dans l'équipe de France et dans des équipes prestigieuses telles que l'AS Monaco ou l'Olympique de Marseille.

Le cercle : Parfaite ambassadrice de cette génération de Millennials, la belle sympathise notamment avec d'autres «enfants de», Gabriel-Kane Day-Lewis (pour rappel, fils de Isabelle Adjani et Daniel Day-Lewis) son «meilleur ami» et Iman Perez (fille de Vincent Perez et Karine Silla) qu'elle appelle sa «wifey». Sur son compte Instagram, la jeune fille multiplie aussi les poses avec les tops du moment, de Gigi Hadid (dont elle s'inspire beaucoup côté look) à Barbara Palvin, qui pourrait être sa sœur.

La vie "instagrammy" de Thylane Blondeau :

Le cv mode : Si la petite fille défile pour Jean Paul Gaultier en 2004,le réel adoubement fashion arrive à l'âge de 10 ans. Thylane est choisie pour une série mode pour le supplément cadeaux de Vogue Paris en 2010. Habillée comme une adulte, celle qui n'est encore qu'une enfant déclenche une polémique sur l'hypersexualisation des petites filles. Un bad buzz reste un buzz : la carrière de Thylane est lancée. Depuis, elle partage son temps entre shootings et sorties largement partagées sur son compte Instagram (qui compte un million d'abonnés). Et faisait partie du casting VIP du dernier défilé Dolce & Gabbana.

Le parcours cinéma : Mais l'apprenti mannequin ne se contente pas de fouler les podiums. En bonne adolescente, elle multiplie les expériences. Son intronisation dans le septième art se fait avec le film Belle et Sébastien de Christian Duguay (sortie en 2015.) Une première prestation remarquée qui lui offre de nouveaux horizons.

Le nouveau titre : Rejoindre la grande famille L'Oréal Paris, c'est côtoyer toutes les égéries prestigieuses de la marque : Eva Longoria, Karlie Kloss, Susan Sarandon, Blake Lively,Ines de la Fressange, Doutzen Kroes... Nommée le jour de ses seize ans, cette «nouvelle muse du digital» selon le communiqué d'annonce, avait déjà foulé le tapis du Festival de Cannes 2016 aux côtés de sa nouvelle équipe. Pour commencer, elle incarnera la gamme hydratante Hydra Genius et pose déjà sur l'e-shop avec le mascara volume Baby Roll. Logique, pour la nouvelle baby face du géant cosmétique.

Le défilé Dolce & Gabbana automne-hiver 2017-2018

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Sourcils : comment leur épilation peut tout changer

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Sourcils : comment leur épilation peut tout changer

Kerry Washington, Jennifer Aniston, Gwyneth Paltrow et Cara Delevingne n'ont pas toujours eu cette ligne de sourcils.

Beyoncé, Scarlett Johansson, Angelina Jolie : les stars aussi ont modifié la ligne de leurs sourcils avec les années. Pour le meilleur… et quelques fois le pire.

En beauté comme en mode, les tendances se suivent et ne se ressemblent pas. Lors de la décennie 1990 et au début du millénaire, les sourcils étaient épilés de manière drastique pour ne former qu’une ligne très fine, comme un hommage à la mise en beauté dramatique de Greta Garbo. Et puis, petit à petit, le naturel a repris du terrain, jusqu’au sacre du sourcil épais, intense et fier de Cara Delevingne il y a cinq ans.

Un abus de pince à épiler

Aujourd’hui, les sourcils sont maquillés, coiffés, épilés et chouchoutés. De nombreuses femmes préfèrent les accentuer au détriment de leurs cils et du sacro-saint mascara, considérant que cela donne plus de caractère au regard. Une bonne nouvelle pour celles que la génétique a gâté de sourcils broussailleux ; une injustice pour les autres qui ont, pendant de trop nombreuses années, éradiqué méthodiquement les poils en trop à cet endroit stratégique. Et les stars ont, elles aussi, été confrontées à ce revirement beauté. Drew Barrymore, Jessica Alba et Angelina Jolie font notamment partie de celles qui ont abusé de la pince à épilerà une certaine période, avant de retrouver aujourd'hui une ligne plus harmonieuse. Penélope Cruz, quant à elle, est passée du sourcil d’inspiration Frida Kahlo à ses débuts à la forme accent circonflexe slim, avant d’assumer aujourd’hui une ligne sobre et fournie. Et Gwyneth Paltrow, qui les arborait fins et discrets, leur donne désormais plus d’intensité. En comparant les photos avant-après de ces différentes mises en beauté, on réalise à quel point les sourcils donnent du caractère à un visage.

Pour les stars aussi, l'épilation des sourcils peut transformer une mise en beauté :

En vidéo, connaissez-vous la technique du double-nettoyage ?

Comment les célébrités vivent-elles leurs rides?

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Ces stars qui se confient sur leurs rides  - Caroline de Maigret

<p>Caroline de Maigret : «Je ne fais ni Botox ni chirurgie, mes rides m'importent peu.<em>»</em></p>

Elles sont actrice, danseuse, animatrice télé, mannequin, décoratrice en vue. Comment ces femmes très exposées gèrent-elles leur image et le temps qui passe ?

Pas vraiment taraudées par la maturité, ces personnalités affichent, au contraire, leur épanouissement et racontent sans fard leurs rides. Rencontre avec six femmes de talent qui nous parlent sans détour du temps qui passe et de leur image.

Caroline de Maigret, mannequin, productrice de musique et ambassadrice Chanel

Qu’avez-vous éprouvé à l’apparition de votre première ride ?
Je me suis dit: «Wouah, déjà !». Cela m’importe peu. Je ne fais ni Botox ni chirurgie. Si vieillir me posait un problème, je serais déjà passée à l’acte. D’ailleurs, je rigole souvent sur le sujet en disant que, grâce à ma frange, je peux camoufler mes rides du lion et du front. Et pour mon métier, je suis les conseils de Jane Birkin : je souris et je lève un peu la tête devant l’objectif.

Quelle image vous renvoie votre miroir ?
Quand je me regarde dans la glace, j’aime mon sourire, mais c’est à peu près tout. Je n’aime pas dire précisément ce qui ne me plaît pas chez moi pour ne pas que les autres le voient. C’est un peu le secret des top-modèles. Et puis aussi, du fait de ce métier, savoir qu’il existe des gens à qui je continue de plaire et qui m’aiment telle que je suis est vraiment réconfortant.

Avez-vous peur de vieillir ?
Physiquement, je ne trouve pas très agréable de vieillir, de voir son corps changer et la peau devenir moins ferme. Mais en ce qui me concerne, je suis assez détachée du problème. La vie des autres et leurs combats m’importent plus que ma petite personne. La vie est bien faite, l’esprit vieilli en même temps que le corps.

Caroline de Maigret est l’image du nouveau sac Chanel, Gabrielle. Elle collabore à la plateforme Chanel CdMdiary, en réalisant des vidéos et en partageant la musique, les films, les livres et les adresses qu’elle aime.

Amira Casar, comédienne

Qu’avez-vous éprouvé à l’apparition de votre première ride ?
Les rides font partie de l’ordre naturel des choses, ne pas en avoir à mon âge serait anormal. Avec mon métier, je constate que la caméra est parfois plus cruelle que la réalité, mais la seule chose qui m’importe, c’est de jouer mon rôle de façon authentique. Mon visage est alors comme le gardien de mon âme, en aucun cas je ne veux ressembler à une poupée de cire parfaite et boursouflée d’insécurité.

Quelle image vous renvoie votre miroir ?
Paradoxale, forcément! Le dégoût parfois, et quand ça va à peu près, je me dis que ce n’est pas moi… Comme le personnage de Marguerite dans «Faust». J’entretiens, je crois, une distance assez saine avec mon physique. C’est un monstre que je ne peux apprivoiser et qui m’échappe. Et c’est précisément cela que j’aime lorsque je m’abandonne profondément à mon jeu dans mon monde intérieur.

Avez-vous peur de vieillir ?
Lutter contre serait une entreprise complètement folle! Mais on peut faire du temps son allié, pour parfaire son jeu. En ce qui me concerne, l’action, le rire, la curiosité, la soif d’apprendre et l’autodérision me maintiennent plus jeune que les vulgaires lamentations sur la jeunesse perdue. Et mon grand moteur est mon enthousiasme et mon désir de m’améliorer.

Amira Casar sera à l’affiche de «Call Me by Your Name», de Luca Guadagnino (sortie en novembre).

Les stars se confient sur leurs rides

Anne-Sophie Lapix, journaliste et animatrice

Qu’avez-vous éprouvé à l’apparition de votre première ride ?
Un choc ! Je me suis dit : «Elle est là maintenant, elle ne partira pas…». Elle est arrivée très tôt (j’ai donc eu le temps de m’y habituer), car j’ai un visage très expressif : je fais énormément de grimaces. Il faut arriver à accepter ses rides, à ne pas les vivre comme des cicatrices. En réalité, ce qui me gêne le plus, ce n’est pas tant les rides, c’est de me dire qu’il y a beaucoup de bons moments que je ne vais plus pouvoir vivre.

Quelle image vous renvoie votre miroir ?
Je ne me vois jamais globalement. J’ai un regard en détail, j’observe mon front, ma joue… C’est au regard que j’attache le plus d’importance. Et il y a plusieurs choses que je n’aime pas particulièrement, comme mes cheveux, mon sourire qui dévoile souvent mes gencives. On peut dire que je suis assez critique, je vois les signes du temps sur mon visage mais je n’en développe pas pour autant de complexes, je vis très bien avec.

Avez-vous peur de vieillir ?
Peur, ce n’est pas le mot. Je dirais que ce n’est pas très agréable de voir diminuer le nombre d’années qui nous reste à vivre. On prend conscience petit à petit de tout ce qui est révolu. Mais, heureusement, j’ai la chance d’être dans l’action permanente, emportée dans un tourbillon qui laisse peu de place à l’introspection. Et puis être mère apprend à relativiser tout cela et à être moins centrée sur soi-même… On passe le témoin en douceur.

Anne-Sophie Lapix présente tous les soirs à 19 heures l’émission «C à vous», sur France 5.

Audrey Fleurot, commédienne

Qu’avez-vous éprouvé à l’apparition de votre première ride ?
Je ne l’ai pas scrutée, traquée, donc je ne l’ai pas vraiment remarquée. En revanche, ce que je vois davantage, ce sont mes pattes-d’oie quand je souris. C’est surtout en regardant les photos que je prends conscience de tout cela, je vois bien que je n’ai plus la même tête. J’ai une tête de femme alors que j’ai toujours l’impression d’avoir 20 ans.

Quelle image vous renvoie votre miroir ?
Je me sens beaucoup mieux maintenant qu’à 20 ans : je suis moins dure avec moi-même. Plus jeune, rien n’allait, je ne pouvais pas sortir sans maquillage, je passais des heures à me préparer, et je possédais une coiffeuse dans mon minuscule studio. Aujourd’hui, quand je me regarde dans la glace, je suis en paix avec mon apparence, même si je constate que mon visage n’est plus plein comme avant.

Avez-vous peur de vieillir ?
Ce qui m’angoisse, c’est de savoir qu’il y a des choses que je ne pourrai plus faire, notamment certains sports. Et puis les lendemains de nuits blanches sont plus compliqués qu’auparavant! La tête ne suit pas le même rythme que le physique. On reste la même personne, mais coincée dans un corps qui ne répond plus tout à fait à ce qu’on lui demande.

Audrey Fleurot est sur France 2 dans la nouvelle série «Les Témoins». On la retrouvera aussi à l’automne dans la 6e saison d’«Engrenages», sur Canal+.

Sarah Lavoine: décoratrice et architecte d'intérieur

Qu’avez-vous éprouvé à l’apparition de votre première ride ?
Je me suis dit : «Déjà… ?» Et depuis, je collectionne les rides avec amusement, et parfois aussi avec tristesse. Elles sont les lignes fortes de mon histoire. Les éliminer, c’est se forcer à les oublier. Or moi, j’ai bonne mémoire. Et pour les apprivoiser, il me suffit de rire souvent.

Quelle image vous renvoie votre miroir ?
Tout dépend de l’heure qu’il est, et du temps qu’il fait. Mon miroir est double : bon et mauvais génie à la fois. Quoi qu’il arrive, je ne suis pas une obsédée du miroir. Et puis j’ai un regard déformé sur moi-même. On ne se voit jamais bien soi-même. Le meilleur miroir reste l’âme.

Avez-vous peur de vieillir ?
Le temps passe, ou plutôt file. La vie est un peu comme une étoile filante. Mais cela ne me fait pas peur, au contraire. J’en éprouve une joie immense, et l’urgence absolue de profiter de chaque instant. La peur est un sentiment que je m’efforce d’ignorer, même si parfois il vous rattrape.

Prochainement, Sarah Lavoine ouvrira un château dans le Bordelais et lancera un service liste de mariage. Son Coffee Shop, installé dans sa boutique de la place des Victoires, à Paris, deviendra bientôt un véritable restaurant.

Marie-Agnès Gillot, danseuse étoile

Qu’avez-vous éprouvé à l’apparition de votre première ride ?
Je me suis dit : «Chouette, je suis enfin une femme !». Mais il est vrai que je tiens de ma mère, je n’ai pas trop une peau à rides, donc forcément c’est plus facile à accepter.

Quelle image vous renvoie votre miroir ?
Quand je me regarde dans le miroir, c’est comme si je ne me voyais pas vraiment. Je me vois floue. Ce que je peux dire, c’est que je porte un regard professionnel sur mon corps. Je suis une danseuse, je n’ai donc aucune indulgence à son égard. Je vois systématiquement les défauts à améliorer, à sculpter. Par exemple, en ce moment je trouve que je manque de quadriceps sur les jambes, ce qui les rend maigres. Et souvent aussi, je n’aime pas trop les muscles de mes bras. On fait des fixettes sur des choses que les autres admirent.

Avez-vous peur de vieillir ?
J’adore vieillir, car je me trouve plus belle en prenant de l’âge. J’aime vraiment et sincèrement les effets du temps sur moi. Je suis un peu comme le bon vin…

Marie-Agnès Gillot, danseuse étoile à l’Opéra de Paris, vient de recevoir les insignes de commandeur de la Légion d’honneur.

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Comment utiliser une ventouse anti-cellulite

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La Cellu-Cup, ventouse anti-cellulite, se décline en plusieurs couleurs

La Cellu-Cup rose change de couleur lorsque le massage est terminé.

Dire adieu à la cellulite n'est pas simple. Un étrange outil fait pourtant la promesse d'estomper les capitons : la ventouse anti-cellulite. Qu'en est-il ?

Petit manuel de "cellulitologie"

La cellulite touche, de manière plus ou moins intense, la majorité des femmes. En août 2016, la dermatologue Nadine Pomarède nous expliquait : «Elle correspond à un stockage de graisse dans les cellules adipeuses, groupées dans la partie profonde de la peau. Ces cellules, dites adipocytes, sont séparées par des cloisons dans lesquelles peut se produire une rétention d’eau.» Pas si grave que ça en théorie, elle pose, pour beaucoup, un problème d’ordre esthétique. Il est impossible de l’éradiquer définitivement, mais nous pouvons toujours en diminuer l’apparence. Grâce à une ventouse anti-cellulite ?

Une ventouse anti-cellulite, c’est quoi ?

Ventouse anti-cellulite Cellublue bleue

Ventouse anti-cellulite CelluBlue, 19,99 € le kit (ventouse, programme de coaching, mètre, et application mobile). Disponible sur shop.cellublue.com.

Cet Obni (Objet beauté non identifié) coloré, d'environ 5cm de diamètre et de hauteur, serait-il le partenaire idéal contre la peau d’orange ? Souvent en silicone, il s’inspire de la cupping therapy, technique ancienne de plus de 3000 ans, servant à soulager les rhumatismes. Aujourd’hui utilisée par les sportifs, la ventouse est aussi prisée par les femmes soucieuses d’atténuer l’apparence de leur tissu adipeux. En reproduisant la technique du palper-rouler, la ventouse permet d’étirer les cellules adipocytes, afin de les rendre moins apparentes. Il suffit, au quotidien, d’appliquer un effet de succion sur la partie à traiter, et d’y effectuer certains mouvements, pendant deux à trois semaines.

Mode d'emploi

Dit de cette manière, cela peut paraître simple, mais les séances d’éradication de la cellulite peuvent vite tourner au vinaigre. Voilà pourquoi il est indispensable de suivre les instructions reçues lors de l'achat des ventouses. De par son effet de succion, le produit stimule la circulation du sang lorsqu'il est bien utilisé. Mais une mauvaise prise en main peut créer des varices, voire former des bleus. La première chose à faire, pour s’assurer que la ventouse glisse, est d’appliquer une huile grasse, parfois vendue avec l'outil, sur la zone concernée. Il faut ensuite pincer la cup, la poser sur la peau, et relâcher. Si trop de peau est aspirée, il suffit de la pincer une nouvelle fois, pour faire rentrer de l’air. C’est là que les choses sérieuses commencent.

Quelle ventouse anti-cellulite choisir ?

Cuisses, fesses, ventre et bras

Pour les cuisses et les fesses, un des leaders du marché, Cellublue, préconise d’effectuer des mouvements de haut en bas (1 minute), en zigzag de l’intérieur vers l’extérieur (2 minutes), puis circulaires (2 minutes). En tout, cinq minutes par jour sont nécessaires pour toutes les zones, en suivant cette même répartition du temps.

Pour le ventre, il faut commencer par des mouvements de l’intérieur vers l’extérieur, en partant du nombril. Et d’enchaîner avec des mouvements circulaires en diagonale, à l’avant sur le ventre et les poignées d'amour. Sur les bras, il est recommandé de commencer en ligne droite, pour ensuite passer à des gestes circulaires, puis en zigzag, le tout de haut en bas. Pour les surfaces moins larges, des ventouses au diamètre plus petit sont souvent proposées.

Attention : Si la douleur est trop intense, il ne faut surtout pas insister. Une sensation désagréable peut se faire sentir, mais elle doit rester dans la limite du supportable. Bleus et varices peuvent apparaître, mais ils ne doivent pas coloniser cuisses et fesses. Pas besoin de s’infliger des souffrances inhumaines. Il vaut mieux faire une pause entre deux utilisations, et essayer d’y aller plus doucement. Pendant ce temps-là, une crème amincissante ou une huile légère peuvent être appliquées tous les soirs, en massant doucement. Dans le cas d’une mauvaise circulation sanguine ou de varices, l’avis d’un médecin est indispensable avant de se lancer.

La ventouse suffit-elle ?

La cellulite touche 90% des femmes mais ce n'est pas cause perdue. Pour éviter qu’elle se développe, certaines pratiques sont à bannir. En ligne de mire ? La mauvaise hygiène de vie. En effet, les graisses saturées et sucres raffinés contenus dans la plupart des plats préparés aident la graisse à se stocker dans les fameuses cellules adipocytes. Les sessions de cupping doivent donc être couplées avec une bonne alimentation et de l’activité physique. La ventouse anti-cellulite aura beau donner une apparence lisse à la peau, il faudra ensuite faire son possible pour éviter le retour des capitons. «They shall not pass» !

10 conseils nutrition pour combattre l'acné :


Les nouveaux codes beauté incontournables

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Parfums, soins et maquillages... Les nouveaux codes qui font le buzz

De g. à droite : Clandestine Clara, eau de parfum, Penhaligon's. 166 Physical 5.5 g, Rouge Coco Gloss, Chanel. Daisy Kiss, eau de toilette 50 ml, Marc Jacobs. Vital Body Balm Baume vital corps, Nuori. Rouge Volupté Shine Oil-In-Stick, Rouge à Lèvres, Yves Saint Laurent. Multiple Tint, NARS Cosmetics X Charlotte Gainsbourg.

Le rose à haute dose, des parfums à histoires, des soins scandinaves ou des onguents d’apothicaire… Tous les nouveaux codes qui font le buzz.

On adopte la marque nordique

Pendant que les gamines cavalent après le kawaï coréen chez Sephora, les grandes sœurs et les mamans cherchent l’esprit sain et l’éclat suédois au nord… et sur la rive gauche. Sachajuan, Björk & Berries, Nuori (des soins frais danois), la brosse en silicone Luna de Foreo… La Petite Épicerie Beauté du Bon Marché accueille pas mal de ces produits bergmaniens au design et aux formules minimalistes qui prônent le retour aux sources. L’effet aquatique se poursuit en Islande, dont la marque Bioeffect accumule les prix et provoque des geysers de compliments un peu partout.

On plagie Charlotte Gainsbourg

Beauté : les nouveaux codes qui font le buzz

Multiple Tint, 41 €, NARS Cosmetics X Charlotte Gainsbourg.

Tout ce qu’elle porte inspire, fait exploser le smartomètre. C’est l’ArtyDN. Avec la collection Charlotte Gainsbourg pour Nars Cosmetics, on acquiert un peu de sa classitude. Même les packagings kaki et or rappellent le style Nicolas Ghesquière, cher au cœur de l’actrice. Yeux d’effrontée et joues timides… Toutes les nuances développées par la muse elle-même sont à son image, subtilement élégantes. Un peu de « narsissisme » ne fait pas de mal.

On s'offre un rose

Dans la mode, en parfum, sur la bouche, les yeux, voire les cheveux, la touche de pink fait la nique au gris du monde mais, comme plus personne ne croit aux contes de fées, on oublie le dragée de Barbie nurserie. Ce fuchsia-là voit presque rouge, a du cran, du mordant, bref, des cellules souches Yves Saint Laurent, période N° 19.

C’est du rose Queen Elizabeth qu’on voit à deux kilomètres, un smoothie fraise qui donne la pêche sans trop faire peur. Pour danser le flamingo en évitant l’overrose, on choisit une seule option. On vous suggère un pétulant pétunia sur les lèvres ou sur les ongles. Quant aux parfums, ils nous jouent aussi pink paradise. Bienvenue à Bagatelle, mais la rose s’acoquine avec des fruits, du cuir, de l’oud, voire du patchouli pour nous rappeler qu’elle aussi a des épines.

On suit le story-smelling

Vous avez raté le début de la série Portraits de Penhaligon’s ? Dommage. C’est Downton Abbey en parfums. Tous les ingrédients du suspense olfactif sont réunis, flacons spectaculaires et personnages shakespeariens : Lord George aux bois de cerf, Lady Blanche en panthère vengeresse…

La nouvelle saison voit apparaître deux nouvelles senteurs et deux nouveaux personnages : Clandestine Clara, la maîtresse de Lord George, une drôle de cocotte toute froufroutante de vanille, de rhum et d’ambre ; et Roaring Radcliff, le fils caché de Lord George, un noceur léonin qui dilapide la fortune familiale dans des volutes de rhum, de tabac et de pain d’épice. Une collection excentrique et délicieusement subversive.

Les produits de beauté qui font le buzz

On part avec Hervé

Le fan-club d’Hervé Hérau, le fascialist le plus élitiste de la capitale, ne voyage plus sans le Mini Vanity N° 33 × L/Uniform, vendu en exclusivité chez Colette. En toile de coton et de lin gansée de cuir gris, il contient Les Essentiels d’Hervé, six produits rechargeables, dont la fameuse Pommade qui a fait sa réputation. Pourquoi 33 ? Jeanne Signoles, créatrice de L/Uniform et Hervé Hérau sont tous les deux d’origine bordelaise. Le ticket d’entrée au club ? 495 €.

On veut une huile mystérieuse

Beauté : les nouveaux codes qui font le buzz

Mon huilette Night, lissant anti-âge x lâcher-prise, 45 euros.

Le sérum et la crème, c’est très 2010 ! Aujourd’hui, la peau carbure à l’Essence (une superlotion gavée d’actifs) et à l’huile. Vous n’avez pas encore la vôtre ? Les plus chics et les plus exotiques s’exposent chez Buly, l’apothicaire de luxe ultra-trendy, mais Oh My Cream ! fait aussi plein de bonnes onctions. Notamment, avec l’Africaine huile de Marula et la vertueuse Mon Huilette Night, créée par deux copines engagées, dont une pharmacienne aromathérapeute. Dans ce mignon petit flacon vert, une synergie d’huiles végétales et d’huiles essentielles vierges, pressées à froid, bio et véganes, s’occupe de tout. Dans la formule, rien ne sert à rien. Même le parfum favorise le lâcher-prise.

On se gaufre les cheveux

Marre des macarons ? La boucle vous boude ? Vous n’avez pas de bol ? Reste la queue-de-cheval barbe à papa. En langage capillaire, on garde ses cheveux longs, mais tout lisses et tout brillants devant et tout mousseux derrière. Une coiffure repérée au défilé Vanessa Seward. C’est dire si elle a le pass VIP.

Aux manettes du fer à gaufrer, Damien Boissinot, hairstylist pour René Furterer. Pas de figaro, pas de matos ? Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. On passe deux heures à tresser ses longueurs un peu humides. On dort avec, on dénatte au réveil, on crêpe au peigne, un coup de spray… Il ne manque qu’un ruban noir pour ceinturer votre œuvre dans les règles de l’art.

On va dans un bar à méditation

La paix des neurones, aujourd’hui, ça se médite. Et quand on n’y arrive pas chez soi, on va dans un bar à méditation, le matin tôt, à l’heure du déjeuner, ou en début de soirée. On laisse ses petites affaires et ses chaussures dans un casier, on s’installe sur un pouf ou dans un fauteuil, et c’est parti pour une séance de trente minutes avec un instructeur. Pour Christine Barois, psychiatre et psychothérapeute, qui a créé le premier lieu du genre à Paris, tout le monde peut pousser la porte avant le burn-out. À méditer (5, rue Gaillon, 75002 Paris. www.barameditation.fr).

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Charlotte Gainsbourg explique pourquoi elle a dit non à la chirurgie esthétique

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Charlotte Gainsbourg tentée par la chirurgie esthétique : son père l'en a dissuadé

Plus jeune, Charlotte Gainsbourg détestait son nez, mais son père Serge Gainsbourg l'a dissuadée de faire de la chirurgie esthétique. (Serge Gainsbourg et Charlotte, le 14 mai 1986, lors d'une pose sur le tournage du clip du groupe Indochine)

À l’occasion de sa collaboration avec Nars, Charlotte Gainsbourg s’est confiée sur son rapport à la beauté dans une interview au supplément mode du New York Magazine.

À 45 ans, Charlotte Gainsbourg qui s’est expatriée à New York, se lance dans une nouvelle aventure : celle de la beauté. La muse du créateur Nicolas Ghesquière, égérie mode de Gérard Darel et Comptoir des Cotonniers, s’associe aujourd’hui à la marque de cosmétiques Nars.

"Quand vous n’avez pas un visage parfait, vous devez faire la paix avec ça"

Le célèbre maquilleur français François Nars, lui aussi établi à New York, a en effet proposé à l’actrice d’imaginer une collection de make-upà son image, qui sera disponible en mai prochain. À cette occasion, Charlotte Gainsbourg est revenue pour The Cut, le supplément mode du New York Magazine, sur son rapport à la beauté, et son héritage familial lourd à porter. «Je suis pleine d’imperfections ! Quand vous n’avez pas un visage parfait, vous devez faire la paix avec ça. Vous commencez à comprendre que les choses que vous ne trouvez pas séduisantes, vous pouvez les accentuer, et cela devient attirant.» L’actrice a pourtant failli céder aux sirènes de la chirurgie esthétique pour refaire son nez qu'elle déstestait selon ses propres mots. Mais Serge Gainsbourg l’en a dissuadée.

«Il m’a dit que ce serait la pire erreur. Que Juliette Gréco avait un grand nez magnifique et qu'après avoir fait de la chirurgie esthétique, elle ne se ressemblait plus. Son visage n’avait plus la même personnalité.»

Longtemps la fille du chanteur et de Jane Birkin s'est sentie comme le vilain petit canard : «Les gens avaient l’habitude de dire "Oh, Charlotte, elle est si drôle". Alors, c’est comme si j’avais compris que mes qualités ne résidaient pas dans mon apparence.» Il faut dire que la comédienne ne se sent pas à l'aise dans une famille où les femmes la complexent sans le vouloir. «Ma grand-mère était très belle. Ma mère était gênée d’être ce qu’elle était, et elle était si extraordinairement belle. Ma belle-mère était une beauté. Ma demi-sœur, Lou (Doillon), était incroyable. Elle était de quatre ans ma cadette et elle avait les cheveux blonds» confie encore l’actrice. Un héritage pas si facile à porter. Heureusement, la comédienne césarisée a suivi les conseils de son père et a décidé de ne pas passer sur le billard. Un choix qu'elle ne regrette pas : «J’aurais pu m’amuser bien plus si j’avais était en paix avec moi-même plus tôt.»

Charlotte Gainsbourg, effrontée for ever

En vidéo, Charlotte Gainsbourg égérie de la campagne hiver 2016-2017 de Gérard Darel

Chirurgie esthétique : connaissez-vous le lipofilling ?

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Chirurgie esthétique : Connaissez-vous le lipofilling ?

Le lipofilling, une pratique qui n’entraîne aucun risque d’intolérance ou d’effet secondaire. Des résultats définitifs et ultra-naturels

Pour retrouver des volumes du visage ou remodeler sa silhouette, rien de mieux que le recours au lipofilling, le prélèvement puis réinjection de ses propres cellules adipeuses. Les spécialistes nous expliquent pourquoi.

Pour rajeunir ou combler des volumes, le lipofilling, qui consiste à réinjecter au patient sa propre graisse, est devenu l’acte de référence en chirurgie. « La graisse est précieuse, reconnaît le Dr Olivier Claude, chirurgien plasticien et esthétique. On en perd un peu chaque jour, or c’est elle qui donne sa jeunesse aux tissus. » Déjà, en 2015, le congrès européen de l’esthétique médicale et chirurgicale, l’IMCAS, révélait que cette technique avait fait son entrée dans le Top 5 des procédures chirurgicales les plus pratiquées dans le monde.

« Depuis plus d’une décennie, la greffe de cellules adipeuses est devenue une technique courante de comblement en chirurgie esthétique », confirme le Dr Ali Mojallal, chirurgien plasticien. Au point que les professionnels n’envisagent quasiment plus de chirurgie de rajeunissement ou d’augmentation de volume sans injection de graisse autologue.

« Pour moi, un acte chirurgical sans injection de graisse est l’âge de pierre de la chirurgie », estime le Dr Patrick Bui, chirurgien plasticien et esthétique. La raison de cet engouement ? Une pratique qui n’entraîne aucun risque d’intolérance ou d’effet secondaire. Des résultats définitifs et ultra-naturels. Et en prime, l’apport de cellules souches qui améliorent la qualité de peau. Les dernières indications en date selon le Dr Gilbert Zakine, chirurgien plasticien : les seins, les fesses et les mollets…

Comment ça se passe ?

Sous anesthésie générale ou locale, le lipofilling se décompose en trois étapes : prélèvement, purification et transfert. Le chirurgien aspire la graisse dans les zones de stockage : ventre, hanches, culotte de cheval, genoux… Elle est ensuite purifiée par centrifugation pour n’en conserver que la part la plus pure, entre 30 % et 80 %, selon sa qualité. Puis cette graisse purifiée est réinjectée à la micro-canule dans la zone à traiter. Depuis quelques années, le geste est parfaitement maîtrisé.

« L’apparition de canules beaucoup plus fines nous a permis d’être plus doux dans le prélèvement et le transfert des cellules graisseuses, et donc d’augmenter le pourcentage de prise de la greffe. Grâce à ces outils, les résultats sont plus fins et plus naturels, sans risque de voir apparaître des nodules graisseux », confirme le Dr Olivier Claude.

La candidate idéale au lipofilling ?

Chirurgie esthétique : Connaissez-vous le lipofilling ?

Sous anesthésie générale ou locale, le lipofilling se décompose en trois étapes : prélèvement, purification et transfert.

Rondes ou minces, quasiment toutes les femmes peuvent avoir recours au lipofilling. Si le stock de graisse est insuffisant sur une zone donnée, le chirurgien la prélèvera sur plusieurs parties du corps. « Bien sûr, si la patiente est maigre, il ne faut pas espérer récupérer de quoi lui redessiner des fesses ou des seins, mais on arrive toujours à prélever de quoi remplir un visage ou un décolleté », précise le Dr Olivier Claude. Et même sur un visage très rond, qui a priori n’en a pas besoin, il est possible de prélever la graisse sur le cou pour la réinjecter dans les zones qui ont perdu du soutien, comme le front, les tempes ou le menton.

La garantie d’un lifting harmonieux

« Le vieillissement est à la fois un relâchement cutané et une perte de graisse profonde, analyse le Dr Patrick Bui. Retendre la peau ne suffit pas à obtenir un résultat naturel. Pour retrouver la plénitude et le moelleux de la jeunesse, il faut restaurer les volumes graisseux. » Le chirurgien repositionne la graisse là où elle a fondu : dans les tempes, les cernes, le haut des pommettes, la vallée des larmes, l’angle de la mâchoire et le menton. Cette graisse est injectée en profondeur pour éviter d’alourdir le visage.

Une fois le plan profond restauré, le chirurgien peut ajouter un peu de graisse superficielle pour traiter les rides et améliorer la qualité de peau. Cette technique permet aussi de corriger de nombreux petits défauts : embellir les lèvres, gommer une bosse sur le nez, rajeunir un lobe d’oreille fripé ou redonner de l’épaisseur à la peau affinée des mains.

Botox : ces célébrités qui en ont un peu trop abusé

Un regard plus frais

Aujourd’hui, près de 98 % des blépharoplasties sont associées au lipofilling. Et ça change tout ! Jusqu’ici, l’opération consistait à retirer les poches de graisse des paupières supérieures et inférieures, ce qui avait le désavantage de creuser le regard. « Pour éviter cet écueil, le praticien retire désormais un peu de graisse en haut et en bas, puis il l’ajoute dans les creux. C’est le gage d’une paupière pleine et naturelle, explique le Dr Patrick Bui. En cas de cernes, la graisse est injectée derrière le muscle, ce qui évite les œdèmes consécutifs au comblement à l’acide hyaluronique. »

Seins : plus de rondeur et de naturel

Sur cette zone du corps, un simple lipofilling peut faire des miracles. Il permet en effet de traiter une asymétrie de volume sans cicatrice, de redonner à un décolleté le plein et le glamour de sa jeunesse, ou d’apporter un petit supplément de volume - un bonnet au maximum - aux poitrines menues. Quel que soit le cas, aucune inquiétude à avoir. On sait aujourd’hui que l’apport de cellules graisseuses n’augmente pas le risque de cancer du sein et ne gêne pas la lecture des radiographies.

L’indication la plus fréquente ? L’association de prothèses mammaires et de graisse : « Si la femme souhaite gagner deux tailles de bonnet, sa peau est fine ou trop mince, l’injection de graisse seule est insuffisante », prévient le Dr Éric Auclair, chirurgien esthétique et plasticien à l’origine de cette technique. Ici, la graisse parfait le résultat en toute discrétion : la prothèse est indétectable à la vue, insoupçonnable au toucher, le sein est plus souple, le décolleté regalbé. « Je le fais systématiquement pour atténuer le côté bombé et artificiel des prothèses rondes », conclut-il.

Fessiers : un résultat à la hauteur

Chirurgie esthétique : Connaissez-vous le lipofilling ?

Entre la résorption de l’œdème et l’élimination de la graisse qui n’a pas été vascularisée - en moyenne de 30 % à 50 % du volume injecté -, il faut compter environ trois mois pour apprécier un résultat définitif.

Syndrome Jennifer Lopez et Kim Kardashian oblige, la demande de fesses rondes, hautes et rebondies explose, en particulier chez les 18-35 ans. L’intervention consiste à prélever la graisse en excès sur les hanches et la culotte de cheval pour la rajouter sur la partie supérieure afin d’accentuer la chute de reins, sur la partie latérale pour l’arrondir, puis sous la fesse pour la regalber. « La graisse reste la solution idéale sur cette zone, estime le Dr Olivier Claude. L’acide hyaluronique est une alternative onéreuse et non définitive. Quant aux implants, situés uniquement sur la partie supérieure, ils sont durs, avec un risque de rotation et de déplacement. »

Des suites plus longues

Avec le lipofilling, elles sont plus lourdes car on marque davantage. En elle-même, l’injection de graisse est presque indolore et ne génère pas de cicatrice. La douleur vient surtout du prélèvement, donc de la lipoaspiration. Elle dure de trois à cinq jours mais cède avec la prise d’antalgiques. Selon la zone traitée et la quantité injectée, il faut prévoir une éviction d’une à deux semaines pour les seins, et jusqu’à dix-huit jours pour un lifting ou pour les paupières. Entre la résorption de l’œdème et l’élimination de la graisse qui n’a pas été vascularisée - en moyenne de 30 % à 50 % du volume injecté -, il faut compter environ trois mois pour apprécier un résultat définitif. Une retouche est toujours possible un an plus tard en ambulatoire.

Il faut savoir que dans les cernes, où la graisse est bloquée entre l’os et le muscle, la prise est de 100 %. Chez les fumeuses, en revanche, en raison d’une moins bonne oxygénation des tissus, le pourcentage de graisse qui disparaît est plus élevé. Et, bien sûr, selon que l’on grossit ou que l’on maigrit, la graisse injectée va suivre ces variations de poids…

Combien ça coûte un lipofilling ?

Si les prix peuvent varier selon la notoriété du chirurgien et la ville où il exerce, ils dépendent surtout de chaque patiente : quantité de graisse à prélever, nombre de zones donneuses, acte ambulatoire ou nuit d’hospitalisation… Lipofilling + blépharoplastie : de 3 000 € les deux paupières à 7 000 € les quatre ; Lipofilling + lifting cervico-facial : de 8 000 € à 12 000 €. Lipofilling + lifting et blépharoplastie : de 10 000 € à 15 000 €. Lipofilling des mains : de 2 500 € à 4 500 €. Des mollets ou des bras : de 5 000 € à 8 000 €. Lipofilling des seins : de 6 000 € à 8 000 € . Avec prothèses : de 7 000 € à 10 000 €.

Si la pratique peut sembler anecdotique et excessive aux Françaises, les Américaines et les Brésiliennes y succombent de plus en plus. Culte du corps oblige, celles qui souffrent de mollets trop maigres n’hésitent plus à recourir au lipofilling pour en augmenter le galbe et se sculpter de jolies jambes, quitte à retirer un éventuel excès de graisse sur les chevilles.

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La routine beauté de Meghan Markle : oui à l'éclat, non au bling

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La routine beauté 100% naturelle de Meghan Markle

Min Min Ma, la make-up artist de Meghan Markle, révèle les produits qui lui servent à réaliser la mise en beauté de l'actrice, et les trois-quarts sont français ! (Los Angeles, le 20 mai 2016.)

La make-up artist de Meghan Markle, la petite amie du prince Harry, a révélé au magazine E ! les secrets de beauté de l'actrice, et ils n'ont rien de sorcier.

Quand on s’appelle Meghan Markle, on est non seulement habituée aux tapis rouges de par sa profession de comédienne, mais aussi de par son statut de potentielle future femme d’un héritier du trône d’Angleterre. L’actrice de la série Suitsse détache du reste du gotha hollywoodien grâce à des mises en beauté toujours très naturelles, à même de respecter sa carnation originelle et ses taches de rousseur fièrement affichées. Ce que confirment les confidences au magazine américain E ! de sa make-up artist attitrée, la Sino-Canadienne Min Min Ma, qui maquille également Brie Larson ou Leonardo di Caprio.

Des produits "bleu, blanc, rouge"

Les produits de beauté français, les chouchous de Min Min Ma et Meghan Markle

Le fond de teint Vitalumière Aqua de Chanel, l'un des produits favoris de l'actrice et de sa make-up artist.

Nulle volonté ici de faire du chauvinisme, mais force est de constater que la routine beauté pré-tapis rouge de la jeune femme comporte de nombreux produits made in France : huile Decléor pour détendre et hydrater le visage, Touche Éclat Yves Saint Laurent pour révéler ses zones d’ombre, fond de teint Vitalumière Aqua de Chanel pour unifier sans trop couvrir, patchs Instant Radiance de G.M Collin pour revitaliser et rajeunir le regard, et enfin crème Décléor riche pour le corps. Une fois les traits détendus et le teint sublimé par un blush rosé, la maquilleuse crée un «smoky eye léger dans des tons bronze, chauds, et une bouche rose nude ou corail». Accompagnée d'une bonne dose de mascara, voici une mise en beauté à la portée de toutes.

Une absence d’extravagance que la make-up artist justifie par le fait que «Meghan Markle a une peau naturellement belle». Alors, même si on ne jouit pas comme l'actrice d’un teint naturellement doré et éclatant, on saura néanmoins remercier Min Min Ma, qui nous délivre ici un message bienvenu : rien ne vaut un maquillage léger, simple mais élégant, principalement travaillé au niveau du teint.

Notre sélection de produits au curcuma pour un teint éclatant :

Le prince Harry et Meghan Markle, la chronologie de leur histoire d'amour :

Autobronzant : l'allié des jambes qui se dévoilent au printemps

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Isabelle Adjan dans "L’Été meurtrier"

Isabelle Adjani, en 1983, dans L’Été meurtrier de Jean Becker.

À l’approche des beaux jours, la plupart des femmes rechignent à porter des jupes sans collants. Tous les moyens sont bons pour cacher leur peau encore blanche et imparfaite.

«Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie», dit l’invétéré séducteur Charles Denner, au milieu des années 1970, dans L’Homme qui aimait les femmes, de François Truffaut. Quarante ans plus tard, le plaisir d’admirer lesjambes des femmes à l’arrivée des beaux jours est toujours d’actualité. Mais tandis que certains (messieurs) se réjouissent, d’autres (dames) s’inquiètent des dommages collatéraux de l’hiver sur leurs gambettes, calfeutrées pendant des mois sous un pantalon chaud ou une paire de collants opaques. «C’est le printemps, j’ai très envie de me mettre en jupe mais impossible d’exhiber mes jambes nues et blanches, notamment au bureau. Cela me donne l’air négligé, or j’occupe un poste exigeant un effort de représentation et je dois faire très attention à mon allure», résume Nathalie Jean, rédactrice de mode dans un magazine féminin.

Comme elle, combien cèdent à ce petit complexe de saison en enfilant à la dernière minute des bas sous leur jupette ? «Moi la première, confie Valérie Léger, formatrice spa et retail pour Clarins. Alors que, légèrement hâlées, les jambes paraissent instantanément plus fines. C’est la même chose pour le visage : le bronzage floute toutes les petites imperfections, donnant immédiatement l’air plus sexy, en meilleure forme. » Elle ne peut qu’approuver les femmes qui se pressent ces jours-ci dans les spas et boutiques Clarins pour réclamer le soin «1,2,3 Soleil» (105 euros les 60 mn). Un protocole simple mais efficace, adaptable aux desiderata de chacune (du marron foncé à l’abricot), qui commence par l’application sur tout le corps d’un exfoliant puis d’un autobronzant dosé à la goutte près (Addition Concentré Éclat) et étalé par effleurements pour éviter les traces. Résultat impeccable garanti, sans parler des conseils de l’esthéticienne pour entretenir son (faux) bronzage jusqu’au prochain redoux.

Notre sélection d'autobronzants :

«Nos clientes veulent bien tricher mais surtout que cela ne se voie pas, reprend la spécialiste. La plupart du temps, elles nous demandent juste un coup d’éclat. Particulièrement à Paris, l’effet naturel étant plus recherché que dans le Sud, où l’on préfère les peaux caramel. Je conseille de traiter les bras et le visage en même temps afin que le hâle paraisse harmonieux et, si l’on choisit l’autobronzantà la maison, de toujours commencer par un gommage. Enfin, toutes les formules n’ont pas le même rendu, mieux vaut demander conseil à l’achat.» Le phénomène est majoritairement urbain : en ville dès la mi-mars, instituts et rayons dédiés ne désemplissent pas. Surtout depuis que la mouvance «athleisure» - ces femmes élégantes qui affichent leur passion pour le bien-être et le sport - a remis les corps bronzés à la mode.

En boutique, chacune cherche son produit idéal. Les jeunes filles se ruent sur les autobronzants (avec une préférence pour les lingettes), les plus âgées réclament de la couvrance afin de dissimuler varices, cicatrices, rougeurs et autres taches. «Comme en général dans la cosmétique, les clientes veulent tout à la fois : un article qui sublime, qu’elles ne sentent pas sur la peau, en même temps camouflant et transparent, souligne Katia Amar, pharmacienne dans le VIIe arrondissement de Paris. Seulement, sur ce segment, qui représente pourtant une demande de plus en plus forte chaque année, je remarque que la réponse n’est toujours pas satisfaisante, ni en quantité ni en qualité.» Aux États-Unis et en Grande-Bretagne, le maquillage du corps fait largement partie de la culture populaire (jetez un coup d’œil aux tutoriels de contouring pour repulper un décolleté ou affiner un mollet) ; les sprays, lotions et gels teintés pour les jambes y rivalisent d’ingéniosité. À dix dollars, l’Airbrush Legs de Sally Hansen, utilisé sur le podium des élections Miss America, reste un must.

Alors que de jeunes labels étrangers arrivent dans nos parfumeries (St.Tropez chez Sephora, James Read…), les marques traditionnelles approfondissent le sujet. Ainsi Guerlain teste sur le marché européen un fluide perfecteur jambes qui floute les défauts grâce au fameux effet «blur» des nouveaux fonds de teint et des anciens Dim Up. «Les Américaines possèdent une routine de beauté bien plus sophistiquée que la nôtre : elles veulent être parfaites des pieds à la tête, souligne Caroline Desaintfuscien, directrice du marketing maquillage chez Guerlain. Sous l’influence des digital natives, qui bousculent les codes, on voit de plus en plus de jeunes filles, en Europe, parler de make-up corporel sur Internet. De plus, les progrès technologiques aidant, on réussit désormais à obtenir un effet sublimateur sans fini nacré, une couvrance sans épaisseur, une tenue sans transfert - qui ne migre pas sur les tissus mais s’enlève à l’eau et au savon.»

Reste aussi l’alternative pragmatique, celle qu’a choisie notre Française Nathalie Jean, après avoir tout essayé pour combattre cette pâleur de saison, même la cure intensive de tomates et de carottes : prendre le soleil, dès que possible. «Je me précipite dans n’importe quel bout de jardin ou terrasse, je roulotte mon jean et j’expose mes jambes. Finalement, rien ne vaut un week-end ensoleillé, à l’abri des regards.» Cela rappellera à certaines le conseil de leur grand-mère quand arrivait le printemps : «Mets donc tes jambes à l’air !»

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Pourquoi faut-il éviter le maquillage lorsque l'on fait du sport ?

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Peut-on se maquiller pour faire du sport ?

Maquillage et activité physique font-ils bon ménage ?

Dur de se montrer sans fard au sport. Pourtant, le maquillage et la transpiration ne font pas bon ménage. Alors, quelle routine beauté sportive adopter ?

Blogueuses et influenceuses peuvent faire rêver quand elles prennent la pose en leggings et brassière de sport en pleine session d'entraînement. Avec l'engouement autour de l'athleisure, les selfiesà la salle de sport envahissent les réseaux sociaux. Pour le meilleur – un regain de motivation –, et le pire – une peau qui peut être malmenée. Peut-on vraiment se maquiller pour ses séances de sport ? Caroline, youtubeuse et blogueuse aux commandes du site Beauté Active, Lucile Woodward, coach sportive ambassadrice de la marque Biotherm, et Elisabeth Berrissoul, dermatologue et directrice médicale de la plateforme Epiderm, nous éclairent sur le sujet.

Faire du sport avec du maquillage, mauvaise idée ?

Au regret de certaines, il faut abandonner fond de teint, correcteur et palette de fards à paupières avant de faire de l'exercice. En effet, les trois expertes réfutent cette pratique «pas vraiment recommandée». La youtubeuse adepte des séances de fitness explique : «Souvent, on transpire et le maquillage empêche la peau de respirer correctement. Cela peut entraîner la formation de boutons». Élisabeth Berrissoul plussoie : «Avec l’effort physique, les pores se dilatent, et la peau absorbe plus facilement les substances chimiques contenues dans le maquillage. Les peaux acnéiques ou mixtes auront des boutons plus facilement.» Pire encore : en faisant du sport maquillée, on se prive des bons côtés de la transpiration. La dermatologue vante les bienfaits de la sueur, qui élimine les substances toxiques du corps. Pour elle, il faut voir la séance de sport comme une «pause de maquillage».

Quelle routine beauté sportive choisir ?

Quelle routine de soins adopter avant un entraînement sportif ? Rien de compliqué. Pour Élisabeth Berrissoul, deux étapes sont nécessaires pour prendre soin de sa peau : il faut bien se démaquiller avant la séance, et, après avoir pris une douche, mettre de la crème hydratante. Une brume pourra aussi faire l’affaire temporairement, pour rafraîchir un épiderme en surchauffe. Les peaux très sèches ou sensibles peuvent appliquer une crème légère avant l’exercice, si nécessaire. La routine de Lucile Woodward : «un sérum et une crème hydratante peau sensible ou avec SPF, si sport dehors. Et de la crème solaire sur les parties exposées : cou, épaules, jambes.» Caroline, de Beauté Active, adhère : «J’ai remarqué qu’il valait mieux bien hydrater sa peau avec des produits adaptés, plutôt que de vouloir la maquiller. De toute manière, si l’on se dépense bien, la transpiration fait couler le maquillage, et ce n’est pas joli !» Si l'activité physique ne rend pas la peau sous son meilleur jour sur le moment, ses bénéfices physiologiques et psychologiques valent le sacrifice.

Quel maquillage peut-on tout de même adopter ?

Celles qui veulent tout de même affirmer leur personnalité, ou camoufler certains complexes peuvent opter pour des produits spécialement conçus. Le Dr Berrissoul conçoit qu'un mascara waterproof et un baume à lèvres teinté soient appliqués. Concernant le teint, mieux vaut éviter tout produit, ou à défaut une BB crème ou une crème teintée légère. Si les problèmes de peau sont trop importants, au lieu de camoufler il faut agir en allant voir un dermatologue, rappelle la spécialiste. Un peu frustrant pour les sportives adeptes d'un make-up fun ? Voilà pourquoi M.A.C. a sorti la collection Work It Out, destinée à la pratique sportive. Mascaras colorés et sticks multifonctions peuvent apporter une esthétique années 1980 à un maquillage un peu trop nude, façon Véronique et Davina. Pas de miracle tout de même : en fonction de l'intensité de l'activité physique, le résultat risque de ne pas être le même qu'au début.

Elisabeth Berrissoul, dermatologue, est directrice médicale d'Epiderm, une start-up spécialisée en conseils en dermatologie.
Caroline est aux commandes de sa chaîne Youtubeéponyme (plus d'un million d'abonnés) et du blog Beauté Active. Elle est l'auteure du livre «Le Guide Healthy life style», sorti en mars aux éditions Hachette Pratique.

Lucile Woodward est coach sportive, blogueuse fitness (lucilewoodward.com), youtubeuse et ambassadrice de la marque Biotherm. Elle est l'auteure du livre «Objectif : Un corps canon !» sorti en 2015 aux éditions Leduc S.

Notre sélection de produits de beauté adaptés au sport :

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Le cactus, nouvel allié beauté de notre peau ?

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Le cactus, l'allié beauté de notre peau ?

L'huile extraite du fruit du cactus, la figue de Barbarie, a des propriétés anti-âge et anti-inflammatoires.

Grâce à ses fruits, les figues de Barbarie, le cactus est devenu un précieux allié beauté. La créatrice de la marque Kahina Giving Beauty décrypte la tendance.

Le cactus, un ami qui nous veut du bien ? Difficile à croire au vu de ses épines menaçantes. Il a pourtant des vertus anti-inflammatoires et anti-âge parfaites pour la peau. Katharine L’Heureux, créatrice de la marque de cosmétique américaine Kahina Giving Beauty, qui commercialise l’huile extraite des pépins de son fruit, la figue de Barbarie, lève le voile sur cet allié beauté méconnu.

L'huile de cactus, c'est quoi ?

L'huile de cactus vient du cactus, oui, mais pas exactement de la plante verte à épines. Elle provient plus précisément des fruits du figuier de Barbarie, une espèce de la famille des cactacées. Comme l'explique Katharine L'Heureux, grâce à sa forte concentration en vitamines E et L, et en acides gras essentiels, cette huile a des propriétés anti-âge et anti-inflammatoires (notamment anti-acné). Ingrédient miracle d'une routine permettant d'avoir une belle peau, elle est malheureusement difficile à obtenir. «Les fruits sont cueillis à la main, lavés et épluchés. Ensuite, la chair du fruit est séparée des pépins, qui sont pressés à froid», ajoute la spécialiste. Puis le produit est filtré, pour s'assurer de sa pureté. Car, au vu de son coût, gare aux arnaques.

Comment se procurer de l'huile de cactus ?

Venue du Maroc ou de Tunisie, l'huile de pépins de figue de Barbarie est parfaite pour chouchouter sa peau dans une ambiance hammam. L'entrepreneuse américaine conseille de l'acheter pure et bio, mais la facture peut vite monter. Pourquoi ? Selon elle, sa rareté fait toute sa valeur : «Il faut environ 500 kilogrammes de fruits pour obtenir un litre d’huile.» Le produit commercialisé par Argandia, par exemple, coûte 70 € pour une fiole de 15 ml. Chez Kahina Giving Beauty, il faut débourser 150 € pour se procurer 50 ml du liquide miracle.

La figue de Barbarie dans des soins pour le visage

Il existe une solution moins concentrée, et moins chère, pour celles qui veulent en faire une utilisation régulière sans casser leur tirelire. En effet, on trouve la figue de Barbarie dans des soins pour le visage -crèmes hydratantes, lotions, brumes-, ou encore des masques pour les cheveux. Mise en avant sur certains produits, mais plus confidentielle dans d'autres, il faut la chercher dans la liste des ingrédients, où elle est souvent accompagnée d'huile d'argan ou de tournesol. On peut la trouver sous le nom d'opuntia ficus-indica en latin, ou prickly pear en anglais.

Comment utiliser l'huile de cactus sur la peau ?

Le mieux est d'appliquer l'huile pure sur son visage, en l'incorporant environ une fois par semaine dans sa routine beauté. Selon l'experte, «il suffit d'appliquer quelques gouttes sur la peau nettoyée et humide, et de masser le visage et le cou pour la faire pénétrer.» Enfin, elle conseille également d'appliquer une crème ou une lotion par la suite, pour bien faire pénétrer le produit, et ainsi renforcer l'hydratation. Une routine beauté de luxe, pour donner des airs de palais orientaux à sa salle de bains.

Notre sélection de produits de beauté à base de cactus :

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Sept astuces pour un teint parfait sans maquillage

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Un teint c'est tout

Avec les nouvelles brosses purifiantes et stimulantes, et les peelings progressifs qui éliminent les cellules mortes en douceur.

Pour gommer les teints ternes, on adopte une routine détox quotidienne et de nouveaux rituels de démaquillage. À la clé, ce précieux effet peau nette qui garantit le capital éclat.

Une peau reposée, pulpeuse et au grain bien serré s’obtient en commençant par le démaquillage. Inspirés des routines de beauté des Coréennes, les nouveaux rituels nettoyants combinés à des micro-massages vont plus loin que le simple « déshabillage » de peau : ils offrent du glow.

Les brosses nouvelle peau

Traits lisses

Et défatigués avec les actifs anti-pollution du Masque Enveloppant Concentré Réparateur Advanced Night Repair, Estée Lauder. Mise en beauté Jolanta Cedro.

Rotation, pulsation, vibration, micro-oscillation…, les brosses supersoniques sont 6 à 15 fois plus efficaces qu’un nettoyage manuel. Elles délogent les micro-particules, lissent le grain de peau, exfolient en douceur, massent…Et comme nos cellules sont sensibles aux fréquences et répondent aux stimulations mécaniques - ce qu’on appelle la mécanobiologie -, ces nouveaux outils augmentent clairement le capital glow. Chico Shigeta a mis au point une routine en 4 étapes pour optimiser la Brosse VisaPure Advanced de Philips, dotée d’embouts drainants et raffermissants. « On commence par la brosse en massages circulaires, en insistant sur le contour des lèvres, du nez et le cou, puis avec l’embout massant (équivalent à 750 tapotements par minute) on travaille le flux lymphatique sur l’ovale. On remonte pour lifter, on draine ensuite le contour des yeux, sous les sourcils, le front, et on termine par des pressions avec les paumes des mains sur le visage. » À découvrir aussi, les brosses nettoyantes avec…

Un embout épilateur visage et une éponge japonaise pour appliquer le make-up, Braun Face.

Un embout massant et éclairage LED, Remington FC1000.

Des picots en silicone doux pour un nettoyage profond et une stimulation anti-âge, Luna Play de Foreo.

Une tête de massage aux 15 effets anti-âge (27 000 massages micro-raffermissants par séance de 3 minutes), Smart Profile Uplift de Clarisonic (disponible en juin).

Les gants de toilette new look

Has been ? Non si on utilise ces nouveaux gants et serviettes en microfibres absorbantes, qui accrochent et éliminent tous les résidus présents à la surface de la peau. Réutilisables, il suffit de les mouiller sous l’eau puis de masser visage et yeux.

Nos préférés : Soin Démaquillant, Gant Perfection, Lytess, qui contient des microcapsules d’huile démaquillante hydratante ; Gant Démaquillant à l’Eau, Sephora ; Serviette Démaquillante, Makeup Eraser ; Serviette Démaquillante Silky Purifying, Kanebo Sensai, en fibres de soie (Le Bon Marché).

Nos produits de beauté pour un teint parfait sans maquillage

La détox au charbon

Le charbon végétal actif est l’ingrédient cosméto du moment. Pour sa couleur noire sexy, mais surtout pour sa puissante capacité d’absorption et d’élimination des particules de métaux lourds, produits chimiques, sébum, peaux mortes et autres impuretés… Autre avantage : il est non abrasif, préserve le film hydrolipidique et convient à toutes les peaux.

À retrouver sous forme de gels moussants : Gel Nettoyant Purifiant au Charbon, Clinique ; Gel Détoxifiant Argile Pure Charbon, L’Oréal Paris ; Black Cleansing Oil, Erborian. Et dans des masques détox combinés à des plantes, de l’argile et des actifs hydratants : Masque Charbon, Payot ; Masque au Charbon Noir, Timeless Truth (Le Bon Marché) ; Masque Purifiant Éclat au Charbon, The Body Shop ; Masque au Charbon, Prescription Lab.

L’exfoliation aux enzymes

Plus efficaces et moins abrasives que les scrubs à grains, les poudres et mousses aux enzymes de fruits (bromélaïne d’ananas, papaïne…) s’activent au contact de l’eau pour exfolier en douceur les cellules mortes et illuminer le teint. On effectue de petits massages circulaires sur peau humide, on laisse poser 30 secondes, puis on rince.

Nos poudres préférées : aux extraits de sucre et graines de lotus, Poudre Exfoliante Éclat Ultra Fine Hydra Life, Dior ; aux alpha et bêta-hydroxy-acides et allantoïne apaisante, Poudre Éclat Minute Hydra Sparkling, Givenchy ; à la poudre de riz, bromelaïne d’ananas et acide lactique, Exfoliant Enzymatique Éclat, Denovo. Version mousse : aux enzymes botaniques, Pschitt Magique, Garancia ; aux extraits d’agrumes, Mousse Nettoyante Booster d’Éclat, Sephora. Aux enzymes de potiron, Gel Nettoyant Renaissance, Oskia.

Les pâtes nettoyantes à l’argile

Remèdes d’antan réservés aux peaux grasses, les masques à l’argile - verte, rose, rouge ou blanche - font leur come-back pour toutes les peaux en demande de clarté. Plus doux - certains peuvent s’utiliser tous les jours -, plus fins, ils sont enrichis en glycérine et actifs hydratants. On laisse poser 10 minutes, on masse, et, comme en institut, on élimine avec une serviette chaude pour libérer les pores. On les utilise en cas de…

Teint terne : Dermaclear Trans-Foam Clay, Dr. Jart+ ; Masque Nettoyant à la graine de persil, Aésop ; Masque Éclat Express nettoyant à l’argile rouge, Sisley ; Duo Premium Masques Pores Chaud/Froid, Caolion.

Pores asphyxiés ou épiderme luisant : Masque Nettoyant Crème Argileuse Clarifiante, Decléor ; Masque Magnifica, Sanoflore ; Mousse Nettoyante Multi-action/Masque Purifiant Perfectly Clean, Estée Lauder.

Les softs peelings

Plus doux, mieux tolérés, mieux équilibrés - évitez quand même le contour des yeux -, les soins aux acides (de fruits, glycoliques, salicyliques, lactiques) peuvent s’utiliser en cure quotidienne pour booster le renouvellement cellulaire. Éclat garantit en 28 jours avec des soins de nuit à intensité progressive. Tel le Peeling Nuit Progressif Visionnaire Crescendo, de Lancôme : deux soins de 14 jours, le premier aux acides de fruits et son de quinoa, pour exfolier ; le second aux acides salicylique et glycolique, pour lisser la peau. Plus douces, les lotions faiblement dosées en acide glycolique conviennent aux peaux sensibles et s’appliquent le soir après le démaquillage pour dépolluer le teint : Idéalia Peeling, Soin Peeling Nuit Activateur d’Éclat, Vichy ; Patting Splash Mask, Blithe (Le Bon Marché).

Les masques bonne mine

Peau rebondie

Avec le Masque Détoxifiant des Laboratoires Collagena. Mise en beauté Jolanta Cedro.

En pâte, gel, crème, patchs…, ils nous proposent un teint frais et radieux au réveil ou juste avant un dîner. À la carte...

Shot de vitamines le matin avec des gelées blindées en vitamine C : Masque Éclat Gelée Fraîche, Hydra Life, Dior ; Vitamin Nectar Masque Booster d’Éclat, Fresh ; Masque Éclat Hydracid C50, SVR ; Masque Éclat Révélation Lumière, Phytomer.

Pause fraîcheur au bureau avec des patchs infusés d’acide hyaluronique : Masque d’Imprégnation Idéal Hydratation, Carita ; Masque Visage Bio Cellulose, DHC ; Masque Bio-Cellulose SOS Éclat, Barbara Gould ; Masque Hydrogel à l’Acide Hyaluronique, The Skin Lounge (Le Bon Marché).

Perfusion d’oxygène le soir avec des masques crème revitalisants gorgés d’actifs détox et décongestionnants : Masques Duo-Shot Vax’In For Youth, City Skin Solution, Givenchy ; Masque Exfoliant Réoxygénant, Filorga ; Oxygen Facial Masque Réparateur Express, Dr. Brandt.

La méthode Lom

Fascialist mondialement connue pour son baume nettoyant (un best-seller planétaire), Eve Lom est obsédée par l’éclat naturel du teint. Celui que l’on obtient avec une routine minutieuse et quotidienne : nettoyage, massage, exfoliation douce… « Le secret est d’éliminer les cellules mortes qui obstruent les pores, pour permettre aux nouvelles cellules de se renouveler. Si la peau n’est pas parfaitement nettoyée, les soins ne vont pas pénétrer. C’est comme mettre une crème sur du béton. » Sa méthode : masser le baume jusqu’à le faire fondre, placer un tissu de mousseline imprégné d’eau chaude sur le visage et l’utiliser pour masser, exfolier, drainer la peau et rincer le visage. Ligne Eve Lom sur feelunique.fr de 19 à 119 €.

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Ces Françaises qui font la cosmétique d'aujourd'hui et de demain

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Le renouveau de l'industrie cosmétique française

L'industrie cosmétique française féminise ses équipes dirigeantes et encourage les jeunes entrepreneuses.

S’inspirant du modèle américain, l’industrie cosmétique française, quatrième secteur de notre économie, féminise ses équipes dirigeantes et encourage les jeunes entrepreneuses.

«J'ai décidé de faire carrière dans le parfum, au milieu des années 1980. Un grand monsieur de cet univers m’avait prévenue : “Vous n’êtes pas grassoise, vous n’êtes pas issue du sérail et vous êtes une femme… Bon courage, vous allez devoir lutter !” Heureusement, le temps lui a donné tort, raconte le nez Calice Becker (Givaudan), auteure du best-seller J’Adore de Dior, mais aussi de jus pour By Kilian, Hugo Boss et L’Occitane. En 1994, j’ai été chassée par Quest, une grosse société qui cherchait à recruter des profils féminins car elle voulait se développer aux États-Unis : là-bas, les gourous de la parfumerieétaient presque exclusivement des femmes. Les dirigeants m’ont embauchée parce que j’en étais une, et j’ai gagné des projets pour la même raison.»

Une expérience qui annonce l’évolution de l’industrie cosmétique française depuis une vingtaine d’années. Au XXe siècle, il y avait François Coty, Armand Petitjean (Lancôme), Yves Rocher, etc. En 2017, les modèles à suivre de la beauté s’appellent Aliza Jabès (Nuxe), Mathilde Thomas (Caudalie), Terry de Gunzburg (ex-YSL, By Terry), Mathilde Lacombe (Birchbox), Juliette Lévy (Oh my cream !)… Un phénomène encore plus flagrant ces derniers temps, avec l’arrivée des digital natives.

« Nous sommes des utilisatrices »

«Qui de mieux qu’une femme pour comprendre ce dont une autre a besoin ? justifie Mathilde Thomas, fondatrice -avec son mari- de Caudalie, en 1995. La beauté nous parle naturellement, nous sommes des utilisatrices. Dans mon équipe de Paris, j’ai 95 % de collaboratrices, entre 30 et 35 ans. Elles sont excitées à l’idée de la dernière crème raffermissante, alors qu’un homme accomplira simplement ses objectifs. Aux États-Unis, dont les figures tutélaires puissantes se nomment Elizabeth Arden, Helena Rubinstein, Estée Lauder, les nouvelles gammes comme les services beauté sont presque exclusivement dirigés par des filles. L’accès aux responsabilités n’est plus une question pour elles. Leur engagement se situe au-delà du terrain du féminisme.» Ces jeunes créatrices n’hésitent pas à embrasser des causes politiques, participant aux manifestations anti-Trump, affichant leur sympathie aux mouvements LGBT ou de défense des minorités.

En France, la valorisation d’une femme forte et indépendante reste d’actualité. Et un argument marketing dans l’air du temps. «L’instinct est une force, l’écouter est une victoire» est le prochain slogan de Nuxe. «Lorsque j’ai fondé la marque au début des années 1990, j’ai voulu apporter de la sensualité et du glamour dans un univers, la pharmacie, qui ne l’était pas du tout à l’époque. Je me suis fait confiance, dit Aliza Jabès. Je fais partie du conseil de surveillance d’un grand groupe (Vivendi, NDLR) et je peux vous assurer que les Françaises doivent encore se bagarrer pour obtenir de gros postes, et les salaires qui vont avec ! Les produits de beauté sont futiles, disent certains ? N’empêche, à travers eux, je suis fière d’encourager des millions de femmes à écouter leur voix intérieure et à entreprendre.»

Dans le sillon des pionnières, une ribambelle de créatives, de business girls et de jeunes entrepreneuses inventent, conçoivent et commercialisent les produits de demain. L’économie digitale leur facilite la tâche. «Internet n’a pas de sexe, il a cassé les codes classiques masculin-féminin, note Sarina Lavagne, la Française à la tête de Prescription Lab, une ligne de crèmes naturelles doublée d’un magazine digital sur le modèle de Glossier, la petite marque américaine d’une ancienne blogueuse. Nous nous adressons désormais en direct à nos clientes. Elles savent que nous fabriquons nos formules pour elles, selon leurs demandes et non des panels de consommateurs lancés par des patrons. Le fait que, derrière la marque, nous soyons une bande de copines ? Je suis certaine que la démarche plaît. Le féminisme n’est plus un combat chez les générations X et Y, plutôt une valeur de base, à respecter.»

Déjà, la relève

Qu’en est-il des grands groupes ? Direction L’Oréal. Le leader de la beauté est aussi un champion de la parité. Il a reçu la première place du classement mondial Equileap 2017, parmi 3 000 entreprises dans 23 pays. Les femmes y représentent 70 % des effectifs, mais surtout 62 % des cadres, 33 % des membres du Comité exécutif et elles dirigent 58 % des marques du portefeuille (rapport au 31 décembre 2016). «J’essaie d’éviter les clichés sur le genre, et j’ai constaté que les messieurs étaient d’excellents développeurs en maquillage, sourit Jean-Claude Le Grand, directeur du développement international des ressources humaines. Vivre dans un monde mixte est une idée assez récente, il a suffi pourtantd’une génération pour que les mentalités changent. Les hommes d’aujourd’hui sont à l’aise avec l’idée de la parité, qu’ils envisagent enfin comme une richesse. Les femmes, qui ont longtemps souffert d’autodiscrimination (le fameux syndrome de l’imposteur), assument davantage leur leadership, qu’il s’agisse de leur carrière, de leurs décisions ou de leur couple. Au-delà de ce phénomène, je remarque en entretien que les jeunes ne veulent plus entrer dans des cases. Or, chez L’Oréal, nous sommes convaincus qu’une entreprise est plus efficace quand elle est mixte et diverse - un reflet de la société, en somme. »

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L'Oréal Paris et Balmain : une collaboration maquillage inédite

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L'Oréal Paris et Balmain sortiront une collection capsule de rouge à lèvres en septembre 2017

La collection capsule L'Oréal Paris x Balmain Paris sera disponible en septembre 2017.

C'est officiel, Balmain et L'Oréal Paris collaborent pour une collection de maquillage. Au programme ? Douze rouges à lèvres imaginés par Olivier Rousteing.

Ou comment adopter un look d’Amazone jusqu’au bout des lèvres. L’illustre maison française Balmain et L’Oréal Paris s’associent pour créer une collection capsule de rouges à lèvres. C’est ce mercredi 3 mai que le géant des cosmétiques l’a annoncé via un communiqué de presse. Dans la collection L’Oréal Paris x Balmain Paris, on trouvera douze nouvelles teintes du rouge à lèvres Color Riche, créées autour de trois thèmes de couleur. Pour Olivier Rousteing, le directeur artistique qui a redonné à la griffe Balmain une seconde jeunesse, «L’Oréal Paris et Balmain partagent la même vision de la féminité, et la même mission : célébrer les femmes et leur permettre d’exprimer librement leur style et personnalité. Avec cette collaboration, je suis heureux de pouvoir donner vie à cette ambition pour les femmes du monde entier.»

Lancement à la prochaine Fashion Week parisienne

Il faudra attendre septembre prochain, et la Fashion Week printemps-été 2018 pour pouvoir se procurer cette ligne «rock et sexy». Elle sera disponible au complet dans un nombre limité de points de vente. Quant aux trois teintes stars de la collection, elles seront également exposées dans les boutiques Balmain Paris. Un accessoire make-up de rentrée idéal pour se la jouer membre de la Balmain Army, l'armée de muses du célèbre créateur.

Découvrez le défilé Balmain prêt-à-porter automne-hiver 2017-2018 :

Le défilé Balmain automne-hiver 2017-2018, en vidéo :

Peau sèche, poils incarnés... Cinq idées reçues sur le rasage

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Les idées reçues sur le rasage

Le rasage rend-il vraiment les poils plus épais ? Une dermatologue nous répond.

Le rasage, c'est la solution de facilité pour dire rapidement «au revoir» aux poils. Mais quelles sont les règles et contre-indications à cette technique ?

Les adeptes du rasoir sont souvent mises en garde. Après le rasage, les poils repousseraient plus drus, la peau serait plus sèche, et des poils incarnés feraient leur apparition. Laurence Netter, dermatologue à Paris, met fin aux idées reçues concernant cette technique.

1. Se raser régulièrement rend les poils plus drus

FAUX. C'est d'ailleurs la légende la plus tenace sur le rasage. Laurence Netter met les choses au clair : ce n’est pas le rasage qui rend le poil dru, cela fait simplement partie du processus de repousse. Le poil est dur quand il sort, mais il s'assouplit à mesure qu'il pousse. «Quand vous venez de vous raser, si vous passez le doigt sur votre peau, la tranche de section est plus nette. Au bout de 5-6 jours, cette sensation passe», explique-t-elle.

2. Plus on rase le duvet, plus il est épais

VRAI ET FAUX. Pour le duvet, qu’il soit sur le visage ou une autre partie du corps, c’est une autre histoire. Une fois qu’il passe sous le couperet d'un rasoir, il se transforme en poil terminal (adulte). Il devient donc, par définition, plus épais. Pour éviter ce phénomène, la dermatologue déconseille également d’épiler. «Il vaut mieux décolorer», affirme-t-elle. Néanmoins, une fois l’erreur commise, l'épaisseur n'augmentera pas plus. Les rasages auront beau se répéter, son état ne changera pas. Un dommage irréversible, qui n'altère l'état des poils qu'une seule fois... mais qui peut donc être la fois de trop.

3. Le rasage assèche la peau

VRAI… mais c’est une raison de plus pour penser à s’hydrater. En effet, si le passage du rasoir n’est pas compensé par une hydratation de la peau, il assèchera cette dernière. «En rasant à sec, vous endommagez le film hydrolipidique de surface de la peau, fait d’eau et de gras. Sans lotion, on enlève une partie de ce film», développe l’experte. Voilà pourquoi il faut se munir d’une lotion ou d’une crème, à appliquer pour le rasage, surtout si la peau est déjà desséchée. Et la crème hydratante ensuite est vivement conseillée.

4. Sans gommages réguliers, bonjour les poils incarnés

FAUX. Lorsqu'il s'agit des poils incarnés, qui «repoussent sous la peau et se recroquevillent», Laurence Netter ébranle nos certitudes. Défaitiste, elle explique que, s'ils doivent être incarnés, ils le seront forcément... Selon elle, la seule solution est l’épilation au laser, qui se débarrasse du poil à sa source. Cela n'enlève pas l'utilité d'un gommage, qui permettra d'éliminer les cellules mortes, et de retrouver une peau de bébé. En somme, une exfoliation régulière est une habitude à intégrer à sa routine beauté.

5. Il ne faut pas poser son rasoir sur le rebord de sa douche

FAUX. Que les «germaphobes» se rassurent, l’humidité n’est pas à proscrire. «Pas besoin d’avoir un rasoir stérilisé !», s’exclame la dermatologue. Et d’ajouter : «Il y a un écosystème de bactéries sur la peau. Si elle est bien hydratée avec un film hydrolipidique de qualité, elle combat très bien les bactéries qui l’entourent.» Il n’y a rien de grave, donc, à exposer son rasoir à certains niveaux d’humidité, tant que ceux-ci ne dépassent pas certaines limites. L’important est d’aérer régulièrement sa salle de bains et de changer fréquemment ses lames de rasoir, dès qu'elles perdent de leur efficacité.

Laurence Netter est dermatologue, spécialisée dans l'épilation laser, la dermatologie esthétique, et le traitement de la transpiration.
29 avenue Franklin Roosevelt 75008 Paris - 01 43 59 88 17. http://www.dr-netter-dermatologue.fr/

Une ventouse anti-cellulite, pour une peau sans capitons :

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Olivier Rousteing : " Je suis moi-même un utilisateur de make-up "

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Olivier Rousteing collabore avec L'Oréal Paris pour une ligne de rouge à lèvres

Olivier Rousteing (à droite) en compagnie du mannequin Ysaunny Brito. (Gala du MET, New York, le 1er mai 2017.)

Le créateur star de Balmain s’essaie à la cosmétique avec une ligne de rouge à lèvres pour L’Oréal Paris.

Est-ce pour son esthétique de femme conquérante, sa sympathie, son extraordinaire popularité sur les réseaux sociaux (4,5 millions de personnes suivent chaque jour ses selfies extravagants et ses virées avec des célébrités) ? Qu’importe (et c’est sans doute un peu pour tout cela), Olivier Rousteing est bien le premier styliste à rejoindre la dream teamL’Oréal Paris. Le géant du maquillage a ainsi confié au Français une collection de rouges à lèvres qui sera commercialisée pendant la prochaine Fashion Week de Paris, en septembre prochain. Depuis que le trentenaire est aux manettes (2012), Balmain rime avec désir, ultraluxe et Instagirls. Color Riche est de son côté le lipstick best-seller de L’Oréal Paris (il s’en vend un exemplaire toutes les trois secondes dans le monde). Leur collaboration devrait faire du bruit. Rencontre.

Le Figaro. –Est-ce la première fois que vous vous attaquez à la beauté ?
Olivier Rousteing. – Bien que j’aie travaillé, il y a quelques années, sur un projet parfum pour Balmain, je m’estimais novice dans cet univers. Je possède une vision mode très forte mais je dois avouer que question textures, formules et pigments, je ne connais absolument rien – la visite des laboratoires de L’Oréal était une première pour moi ! En revanche, j’ai une idée précise du rôle d’un maquillage, selon moi, partie intégrante d’une tenue. Lorsque je façonne les vêtements de mes défilés, j’imagine une silhouette « head to toe » (de la tête aux pieds), visage compris. Je fais alors des propositions de look au maquilleur avec qui je travaille (souvent Tom Pecheux, NDLR). Et puis, je le revendique fièrement, je suis moi-même un utilisateur de make-up, comme de plus en plus d’hommes, non ? Le fait que L’Oréal Paris me choisisse prouve l’ouverture d’esprit de cette maison.

Vous confiez que la bouche vous obsède.
Elle est, pour moi, l’élément glamour du visage, elle en dit long sur qui vous êtes, selon qu’elle est pulpeuse, pincée, entrouverte… Mettre du rouge à lèvres révèle la personnalité. Vous portez du carmin et vous vous sentez une séductrice, une amazone, vous avez confiance en vous. Au contraire, un lipstick brun exprime un goût pour la nature, pour les couleurs de la terre, une beauté moins sophistiquée… En concevant la palette de nuances Color Riche, je me suis beaucoup inspiré de mes voyages, au cours desquels je rencontre des tas de filles aux cultures différentes – de l’Afro-Américaine de New Yorkà la Latina de Miami, en passant par la Parisienne ou la Brésilienne… Proposer des teintes compatibles avec diverses couleurs de peau me tenait à cœur. Je voulais parler aux femmes du monde entier.

Cette collection vous fait descendre dans la rue…
Et j’adore l’idée ! Les filles qui aiment mon univers n’ont souvent pas les moyens de s’acheter une robe, ni même un tee-shirt chez Balmain. Grâce à L’Oréal Paris, elles vont pouvoir s’offrir un petit bout de ce luxe. Cette démarche pop me plaît, c’est la raison pour laquelle j’avais également collaboré avec H&M en 2015. À la différence qu’à l’époque je leur avais livré mon style, tandis que là, j’ai découvert un univers et appris un savoir-faire.

En vidéo, le défilé Balmain automne-hiver 2017-2018

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